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Auteur / Victoria Darves-Bornoz

Nicolas Hazard : « Le plan d’action européen est un tournant fondamental pour l’économie sociale »

Victoria Darves-Bornoz 16/02/2022
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Nicolas Hazard est conseiller spécial pour l’économie sociale auprès de la Commission européenne. Entrepreneur, il crée en 2012 INCO, un fonds d’investissement qui revendique la gestion et le conseil de plus 500 millions d’euros en faveur d’entreprises à impact. Nommé […]

Une PME du numérique dédie 500.000 euros à un appel à projets pour la transition écologique

Victoria Darves-Bornoz 06/01/2021
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Tripnity, entreprise du numérique basée à Limoges, devenue société à mission en novembre dernier, lance un appel à projets pour soutenir des initiatives de TPE-PME à haute valeur sociale et écologique. Dans les domaines de l’alimentation durable, des mobilités douces […]

Pendant le confinement : Le tutoriel de Ghara pour construire sa maison écologique

Victoria Darves-Bornoz 10/04/2020
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Rien à faire pendant le confinement ? Apprenez à construire votre maison écologique ! L’auto-construction a le vent en poupe et correspond parfaitement à l’aspiration d’une nouvelle génération. Voilà donc de quoi occuper vos journées, vos week-ends… voire davantage encore. […]

Ecosia : le moteur de recherche alternatif qui veut changer d’échelle

Victoria Darves-Bornoz 16/03/2020
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Ecosia veut changer d’échelle, mais à son rythme. Né à Berlin voilà dix ans, ce moteur de recherche alternatif conquiert de plus en plus d’internautes sensibles à l’engagement écologique. Ferdinand Richter, responsable de l’antenne française, évoque d’ailleurs pour Mediatico l’augmentation […]

Coexister : un modèle économique hybride pour une association d’intérêt général

Faire de la diversité un levier du mieux vivre ensemble, d’accord. Mais quel est le modèle économique de Coexister, l’association qui prône le dialogue interreligieux et le respect mutuel ? A la fois dirigeant associatif, chef d’entreprise et professeur à Sciences Po, […]

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La précarité énergétique, grande cause nationale 2020 ?

Saviez-vous que 5 millions de foyers n’ont pas les moyens de payer leur facture d’énergie en France ? Chauffage, électricité, transport de fioul… Parce que la lutte contre la pauvreté et la lutte contre le réchauffement climatique participent de la même […]

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RCube : Le marché de la récupération en France représente 100 milliards d’euros par an

Alors que le Sénat étudie la nouvelle loi sur l’économie circulaire qui doit être votée d’ici mars 2020, l’association Rcube organise le 21 novembre les États généraux du réemploi et de la réparation. Le but : rassembler les acteurs de la […]

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INFOS PARTENAIRES

  • Malaise démocratique : comment sortir de la crise ?

    FANETTE BARDIN, DORIAN DREUIL, CHLOÉ RIDEL, JULIEN ROIRANT Comment changer les règles du jeu démocratique ? Et comment les citoyens peuvent-ils contribuer à ce processus ? Alors que l’adoption via l’article 49-3 de la Constitution de la réforme des retraites a reposé la question de la confiance dans les institutions, des outils existent pour sortir de la crise politique : à travers des États généraux de la démocratie, les citoyens pourraient être réellement associés, par la consultation et la délibération, à la réforme des institutions1. Démocratie française, le jour d’après. Le débat autour du projet de réforme des retraites et l’utilisation de l’article 49 alinéa 3 de la Constitution ont mis en exergue les limites de nos institutions à faire vivre les différentes légitimités démocratiques. À l’heure où la confiance des Français dans leurs institutions est à son plus faible niveau depuis le mouvement des « gilets jaunes »2, la crise politique prend le risque de se transformer en crise de régime. En soixante-cinq ans d’existence, la Constitution de la Ve République de 1958 a été modifiée à pas moins de vingt-quatre reprises. Lors de ses vœux en décembre 2022, le président de la République a annoncé vouloir à nouveau réformer les institutions par les moyens d’une « commission transpartisane ». Réalisé pour AgoraLab3, en partenariat avec Démocratie Ouverte et Mieux Voter les 25 et 26 janvier 2023 sur un panel représentatif de 1 007 personnes, un sondage au jugement majoritaire de l’institut OpinionWay révèle que les Français veulent être associés au chantier de la réforme des institutions. Cette note propose une méthode pour sortir de la crise politique en associant les citoyens à la réforme des institutions à travers des États généraux de la démocratie. Huit Français sur dix souhaitent pouvoir contribuer au changement des règles du jeu politique C’est un thème de consultation « très important » pour près d’un tiers des Français et qui transcende les clivages politiques. Au-delà de l’écrasante majorité qui se dégage en faveur de l’association des citoyens aux modifications à apporter à la Constitution, il est intéressant de noter l’écart entre les deux propositions extrêmes soumises aux répondants. Alors que 31% estiment que le sujet de la consultation est « très important », seuls 4% d’entre eux considèrent que l’implication des citoyens à la réforme des institutions ne présente pas d’intérêt. L’analyse détaillée par profils de répondants montre par ailleurs une sensibilité plus importante des 25-34 ans, des femmes et des catégories socioprofessionnelles supérieures à cet enjeu (respectivement 88%, 85% et 87% d’opinions favorables). À l’inverse, les personnes de plus de soixante-cinq ans y sont un peu moins sensibles (76% le trouvent néanmoins important). Quelle que soit leur proximité politique, la proportion de Français considérant le sujet comme « important ou très important » ne descend jamais au-dessous des deux tiers. Cette proportion culmine à 95% chez les sympathisants Europe Écologie-Les Verts (EE-LV). Les personnes ayant voté blanc ou nul ou s’étant abstenues en 2022 se prononcent comme l’ensemble des Français (le sujet est important pour 82% d’entre elles). Seules les personnes se réclamant de la « majorité présidentielle » ou des Républicains sont moins de huit sur dix à considérer le sujet comme important (respectivement 68% et 70%). En observant la proportion des personnes considérant le sujet comme « très important », on constate une surmobilisation autour du sujet chez les électeurs de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen au premier tour de la présidentielle de 2022 (respectivement 47% et 46% pour une moyenne à 31%). Il est à noter que le taux de répondants considérant le sujet comme « très important » est le plus bas chez les électeurs d’Emmanuel Macron (17% tout de même). Les outils plébiscités pour réformer les institutions Ce sondage réalisé au jugement majoritaire4 offre un regard inédit sur les préférences des citoyens quant à la méthode nécessaire pour les associer. Les Français préféreraient recourir au référendum d’initiative citoyenne (RIC)5 pour réformer les institutions. Avec 34% de mentions « excellent » et « très bien », le RIC constituant obtient la meilleure évaluation parmi les quatre processus potentiels de réforme des institutions (mention médiane : « bien »). C’est également la proposition qui recueille le moins d’évaluations négatives (7,4% de mentions « à rejeter ») de la part des Français dans leur ensemble. La proportion de mentions « excellent » et « très bien » est la plus élevée parmi les électeurs de Jean-Luc Mélenchon et de Marine Le Pen (respectivement 46,3% et 41,3%). En termes de proximité partisane, même s’ils lui attribuent la mention « assez bien », les électeurs d’Emmanuel Macron sont les seuls à ne pas privilégier le RIC constituant pour modifier la constitution. La convention citoyenne6 (tirée au sort) et l’assemblée constituante7 (élue) sont au coude-à-coude dans les préférences des sondés. Les deux propositions de création d’une assemblée dédiée à la réécriture de la Constitution atteignent également la mention « bien » dans notre sondage au jugement majoritaire. Bien que la convention citoyenne tirée au sort soit un peu plus clivante (proportion légèrement plus importante de mentions très négatives ou très positives), elle se hisse à la deuxième place du classement parmi les quatre processus potentiels de réforme des institutions. Si l’assemblée constituante élue est privilégiée (entre ces deux options) dans l’électorat de Jean-Luc Mélenchon (qui portait la proposition dans son programme à la présidentielle) et de Marine Le Pen, elle est davantage rejetée dans celui d’Emmanuel Macron. Seuls les électeurs d’Emmanuel Macron sont convaincus par la commission transpartisane8 sur la réforme des institutions. S’il obtient tout de même la mention médiane « assez bien », le dispositif annoncé par le président de la République pour relancer le chantier de la réforme des institutions se place dernier du classement parmi les quatre processus potentiels évalués dans le sondage. L’idée d’une commission transpartisane reçoit la plus grande proportion de mentions « insuffisant » ou « à rejeter » de la part des Français dans leur ensemble (19,9%). Cette proportion d’évaluations négatives et très négatives s’élève à 21,7% dans l’électorat de Marine Le Pen et à 21,6% chez les personnes ayant Lire la suite…

Edito

  • Climat (social) incandescent : la France en état d’alerte

    Environnement, Social, Gouvernance : le triptyque « ESG » bien connu de l’économie sociale et solidaire et des milieux financiers, vient tout à coup questionner la France entière. Un ultime rapport du GIEC, un ultime 49.3 sur les retraites, une ultime tension inutile sur les méga-bassines… Comme une traînée de poudre, les signaux d’alerte embrasent le pays, pour qui veut bien les voir. Jamais la convergence des luttes n’a semblé si proche, si évidente. Au point de s’étonner d’entendre si peu les représentants de l’économie sociale et solidaire s’exprimer sur ces sujets brûlants. Alors même que le climat (social), lui, est incandescent ! Parlons d’environnement d’abord, puisque l’enjeu planétaire est supérieur à tous les autres. Le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), que nul n’a plus le droit de remettre en cause désormais, vient de rendre la synthèse finale de son sixième rapport, plus alarmant encore que les précédents. Il redit ô combien donner « priorité à l’équité, à la justice climatique, à la justice sociale, à l’inclusion et à des processus de transition justes » est essentiel pour favoriser la baisse des émissions et un développement humain résilient. « Chauffe qui peut », titre une partie de la presse. Choix bienvenu, nos confrères de Vert le média préfèrent mettre en lumière « les solutions du GIEC » pour réduire un peu notre niveau d’éco-anxiété. Parlons du département des Deux-Sèvres et de la méga-bassine de Sainte-Soline, qui a alimenté le robinet des chaînes d’info durant tout le week-end. Grandes comme plusieurs terrains de football, ces retenues d’eau artificialisent les champs. Elles sont construites par de riches propriétaires agricoles pour leur permettre d’arroser leurs cultures l’été prochain. Sauf qu’ils puisent « leur » eau dans les nappes phréatiques souterraines, que les autres agriculteurs de la région et les écologistes considèrent comme un bien commun. Comment ne pas imaginer l’affrontement ? Pourquoi avoir placé les forces de l’ordre d’emblée dans le camp de l’agriculture productiviste, encore une fois (nous le rappelions dans cette émission) systématiquement contre les combats écologistes ? Après le passage en force du 49.3 sur les retraites, voici un autre passage en force « à l’assaut » de l’expression de la colère démocratique. Environnement et Gouvernance ? Les deux combats sont liés. Il est grand temps de changer de méthode. Aujourd’hui la France a soif. Demain, elle aura faim. Le Social est donc aussi de la partie. Avez-vous vu ces agriculteurs bio, convertis récemment, qui finissent par y renoncer faute de consommateurs suffisants ? Oui, le bio est meilleur pour la santé, mais le bio est plus cher. En période d’inflation, de crise, de grèves… les consommateurs n’en peuvent plus. La pauvreté s’accroît. Écologie et Social, même combat. Dans le même temps, des vols de nourriture sont observés dans les grands magasins en France comme partout en Europe, indique le journal Le Monde. Nos Restos du Cœur, qui organisaient début mars leur collecte nationale, voient les dons diminuent tandis que leur fréquentation s’accroît. En urgence, ils n’ont d’autre choix que d’organiser des collectes locales complémentaires encore en cette fin mars, pour répondre à la demande. Climat (E). Pauvreté (S). Démocratie(G). La planète est en état d’alerte. La France aussi. Recevez chaque semaine l’édito de Mediatico par e-mail

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