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ACCUEIL » INFOS PARTENAIRES » COMMUNIQUÉS » Youssef Achour est élu président de la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire d’Île-de-France

Youssef Achour est élu président de la Chambre Régionale de l’Economie Sociale et Solidaire d’Île-de-France

Par Mediatico 26/04/2022

Gennevilliers, le 5 avril 2022 – Le conseil d’administration de la Chambre Régionale de l’Économie Sociale et Solidaire d’Île-de-France a élu Youssef ACHOUR, président du groupe Up, pour succéder à Éric FORTI à la présidence de la CRESS IDF.

Un parcours personnel et professionnel engagé

Militant associatif depuis ses années étudiantes, professionnellement engagé au service de l’intérêt général et, depuis plus de 20 ans, au sein de la coopérative Up (ex : Chèque Déjeuner), Youssef ACHOUR a consacré toute sa vie à l’Économie Sociale et Solidaire et à la promotion de ses valeurs. En tant que Président du groupe Up, constitué de 3 500 personnes et présent dans près de 30 pays, il s’est attaché à démontrer la performance du modèle coopératif et à promouvoir sa spécificité auprès de l’ensemble de ses interlocuteurs, publics, privés ou citoyens. Le groupe Up fait d’ailleurs partie des six Chambres Régionales de l’Économie Sociale et Solidaire1 des territoires où il est implanté, notamment en Île-de-France où il a son siège.

Un projet collectif au service de l’intérêt général

Le projet de Youssef ACHOUR pour la promotion de toutes les formes de structures représentant l’Économie Sociale et Solidaire en Île-de-France s’inscrit d’une part dans la continuité de son engagement personnel et d’autre part dans le travail collectif effectué au sein de la CRESS depuis 2010 sous la présidence d’Éric FORTI.

« C’est un honneur d’être élu à la tête de la CRESS d’Île-de-France et d’avoir l’opportunité de prolonger le travail effectué par Éric FORTI. Je compte sur la diversité et la force de notre collectif pour défendre un modèle qui nous est cher et qui est surtout utile pour la Société tout entière ! J’ai la conviction que l’ESS porte en elle beaucoup de réponses aux crises – sociales, démocratiques, économiques ou écologiques – que nous traversons. À nous d’en apporter la preuve par notre capacité d’innovation et d’adaptation ! » précise Youssef ACHOUR.

Cette nouvelle présidence permettra à la CRESS IDF de faire rayonner encore plus largement l’impact positif de structures qui démontrent, chaque jour, que l’on peut agir et créer de la valeur autrement, pour le bien de la Société.

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Edito

  • Dans l’ESS, l’heure est à la réconciliation, pas à la division

    Au joli mois de mai, éclosent les collectifs. Se coaliser pour revendiquer ? Voilà qui va bien à l’économie sociale et solidaire, empreinte de culture politique, sociale, syndicale, militante… A fortiori la veille de l’assemblée générale du Mouvement Impact France, avec tous les soubresauts qu’elle suscite dans le petit milieu de l’entrepreneuriat social. L’attelage de l’ESS tiraille de toutes parts ! Alors, ces collectifs : objets de tiraillements internes, ou de coalition ? Observons d’abord que les initiatives collectives citoyennes dépassent largement, heureusement, le champ de l’ESS.  Ainsi, ce collectif d’habitants qui refuse l’installation d’un pylône à antenne 5G de 25 mètres de haut, devant le moulin Robinson de Saint-Grégoire, en Ille-et-Vilaine, près de Rennes (lire ici). Ou ce collectif de parents d’élèves #OnVeutDesProfs, qui a lancé hier sa deuxième action en justice contre l’État, irrité des absences non-remplacées des professeurs de nos enfants (lire ici).  Ce dimanche, le JDD publiait aussi une tribune collective pour sauver les JO 2024 (lire ici). Un collectif d’associations et d’élus appelle en effet à la fin des querelles, suite aux scandales qui touchent plusieurs fédérations sportives. Corruption, maltraitance, harcèlement, pédophilie… Il est temps d’enterrer la hache de guerre et de laisser la justice faire son travail pour préparer la grande fête populaire au service du sport, estime le collectif.  Mais pas un mot sur les tarifs époustouflants de la billetterie-loterie. Et pas un mot non plus sur l’ambition d’en faire « les premiers Jeux Olympiques inclusifs et solidaires de l’Histoire ». Or, c’est sans doute là qu’éclatera la prochaine polémique, lorsque l’on voudra mesurer l’impact social de ces Jeux et que l’on osera poser la question : « Ces Jeux ont-ils vraiment été solidaires et inclusifs » ? En attendant, au palmarès des mobilisations collectives, l’ESS est championne, assurément. En ce mois de mai, vous pouvez signer, rejoindre ou partager l’appel de Bastien Sibille (lire ici), président de Mobicoop et des Licoornes, qui veut mettre en réseau les « acteurs de la transition écologique juste ». Déjà plus de 500 signataires en deux semaines et une rencontre prévue début juillet, pour accélérer et faire levier sur la société, en s’appuyant sur le savoir-faire et la culture coopérative. Vous pouvez aussi signer, rejoindre ou partager l’opinion du nouveau Collectif des entrepreneurs sociaux qui vient de naître (lire sa tribune dans le JDD), en opposition radicale à la nouvelle stratégie du Mouvement Impact France. Quant à ce dernier, qui tient son assemblée générale demain (lire le communiqué d’Impact France), il rassemblait justement jadis les entrepreneurs sociaux. Mais son projet d’élargissement à des entreprises plus classiques suscite de très forts remous chez les acteurs de l’entrepreneuriat social et, plus largement, de l’économie sociale et solidaire.  Pour comprendre les enjeux de ce bras de fer, qui oppose donc aujourd’hui deux collectifs d’entrepreneurs sociaux, Mediatico a interviewé la semaine dernière Jonathan Jérémiasz, porte-parole du nouveau Collectif des entrepreneurs sociaux. Une interview vidéo sans détour, où il exprime en détails les raisons de son opposition totale à ce projet d’élargissement d’un mouvement qu’il a lui-même présidé : voir son interview vidéo sur Meditico ! Mais dans ce contexte de vives tensions internes, apparaît une initiative réconciliatrice. Allez lire la tribune collective d’ESS France sur Alternatives Economiques (lire ici). ESS France est la « tête de réseau » qui regroupe derrière elle tous les acteurs de l’économie sociale et solidaire en France, et qui porte le plaidoyer politique de l’ESS auprès des pouvoirs publics. Son « manifeste pour une ESS rassemblée, claire et conquérante » fait du bien.  Surtout, voici que son président Jérôme Saddier paraît aux côtés de Pascal Demurger et de Julia Faure, tous deux prétendants à la co-direction, dès demain, du Mouvement Impact France. Un billet d’opinion dans La Tribune bienvenu, co-signé de leurs trois signatures, illustré certes d’un photo-montage, mais qui envoie un signal simple : pour relever les multiples défis de notre société à bout de souffle, l’heure est à la réconciliation, pas à la division de ceux qui proposent de vraies solutions.

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    Pascal Demurger est candidat avec Julia Faure à la co-présidence du Mouvement Impact France, qui tiendra son assemblée générale le 24 mai prochain. Pour l’occasion, Mediatico republie le portrait réalisé avec Pascal Demurger en 2020 sur son engagement d’entrepreneur à mission. A l’heure de la crise, et s’il était l’heure d’inventer un nouveau modèle d’entreprise tourné vers le « bien commun » ? Et si l’on réconciliait l’éthique et la performance de l’entreprise, pour gagner en attractivité et conquérir de nouveaux marchés ? C’est ce que font certains dirigeants “pionniers”, qui ont décidé d’inscrire dans leurs statuts une « mission » supérieure à celle de leur simple rentabilité. Et c’est ce qu’a fait la Maif. La mutuelle d’assurance connue pour son slogan “d’assureur militant”, a pour fonction première de protéger ses sociétaires, comme toute mutuelle. La Maif est donc devenue une entreprise à mission. Elle réalise près de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais elle n’a pas d’actionnaires. Elle a centré sa raison d’être sur « l’attention sincère portée à l’autre et au monde». Et pour Pascal Demurger, son directeur général, conduire une entreprise à mission est « source d’un alignement personnel entre l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité », nous révèle-t-il dans cette longue interview. Bienvenue dans “Entreprises en Mission”. Le podcast de Prophil et Mediatico qui interroge l’engagement des entreprises et la sincérité de leurs dirigeants. [article initialement publié le 30/11/2020 sur Mediatico]

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