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ACCUEIL » INFOS PARTENAIRES » Produrable Groupe Cheval, lauréat du Prix de la Marque à Mission

Groupe Cheval, lauréat du Prix de la Marque à Mission

Par Mediatico 19/09/2023
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Le Prix de la Marque à Mission a été décerné par Guillaume Desnoës, co-président de la Communauté des Entreprises à Mission au Groupe Cheval, durant le Grand Prix de la Marque Engagée 2023. Jean-Pierre Cheval, président du Groupe Cheval, a répondu à nos questions.

Partenaire de la 6e édition du Grand Prix de la Marque Engagée, organisé par LinkUpFactory sur le salon Produrable 2023, Mediatico a eu le plaisir d’interviewer les différents lauréats en descente de scène, durant le tournage vidéo réalisé par Impact Productions.

Au total, huit prix ont été remis dans différentes catégories :

  • le Prix Startup, décerné à Mob-Ion (Christian Bruère, président)
  • le Prix Marque & ONG, décerné à Petit Bateau (Jean-Marc Guillemet, directeur des opérations) & Water Family (Elodie Agamennone, coordinatrice)
  • le Prix Ville & Territoire, attribué à Somme Tourisme (François Bergez, directeur, et Léa Manot, chargée de mission Tourisme de mémoire)
  • le Prix de la Personnalité Engagée, décerné à Isabelle Aprile (Sodexo La Passerelle, CEO)
  • le Prix de la Marque à Mission, attribué au Groupe Cheval (Jean-Pierre Cheval, président)
  • le Prix B2B, attribué à Saint-Gobain (Isabelle Pirès, responsable marketing et développement durable, et Fabrice Desmons, International product strategy director)
  • le Prix Services B2C, décerné à MiiMOSA (Florian Breton, fondateur)
  • le Prix Produits B2C, attribué à Rowenta (Juliette Sicot-Crevet, directrice développement durable, et Pierre-Henry Descubes, directeur de produit International)

Toutes les interviews des lauréats sont à retrouver dans l’espace Produrable sur Mediatico.fr :
https://www.mediatico.fr/partenaires/produrable/

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Edito

  • Territoire zéro chômeur, dommage collatéral de l’objectif de plein emploi ?

    Tout le paradoxe est dans le « En même temps ». Le gouvernement, qui a annoncé la semaine dernière un plan pauvreté, va réduire dès la semaine prochaine les crédits budgétaires alloués à l’expérimentation Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée (TZCLD), qui a pourtant pour but premier de réduire la pauvreté sur les territoires les plus enclavés de notre République et pour les personnes les plus éloignées du marché de l’emploi en “activant les dépenses passives du chômage”.  Mauvais timing, hélas. Cette décision intervient « à contre-courant, alors que le Comité européen des régions a délibéré à l’unanimité en juin pour l’essaimage de l’expérimentation en Europe », plaide l’ancien député Laurent Grandguillaume, président de TZCLD.  Au 1er octobre, l’Etat va donc ramener la dotation publique à 95% du SMIC brut pour chaque emploi créé dans les 64 Entreprises à but d’emploi (EBE) au titre du dispositif Territoire zéro chômeur de longue durée. Au lieu de 102% précédemment, selon un décret daté du 31 juillet dernier. Pourquoi 102%, direz-vous. Comment justifier un financement supérieur à 100% du salaire d’une personne employée à des tâches simples comme l’entretien d’espaces verts ? La réponse est simple aussi : remettre sur le marché de l’emploi des personnes qui en ont été privées durablement, et dont plusieurs sont handicapées, suppose de créer des postes d’encadrement technique et d’accompagnement social. C’est impératif ! Ainsi donc, les associations montent une nouvelle fois au créneau. Dans son journal du mois d’octobre qui vient de paraître, ATD Quart Monde l’assure : « En réduisant cette année de plusieurs millions d’euros les financement des emplois créés grâce au projet Territoires zéro chômeur de longue durée, c’est tout le modèle des Entreprises à but d’emploi qui s’en trouve fragilisé. Plus grave encore, dans certains territoires, cette décision aura pour conséquence une baisse, voire un gel, des embauches prévues, au détriment des personnes privées durablement d’emploi ».   Le 17 octobre, journée du refus de la misère Chez Solidarités Nouvelles face au Chômage (SNC), qui publiait la semaine dernière son 7e “Rapport sur le chômage et l’emploi”, la nouvelle présidente Nathalie Hanet, élue l’année dernière, rappelle que « notre conviction est que l’objectif de plein emploi fixé par le gouvernement ne peut être atteint sans prendre en compte les personnes durablement privées d’emploi stable ».  Car malgré la baisse du chômage, le marché du travail reste carac­térisé par une polarisation entre des actifs dont la qualification est recherchée et une population en privation durable d’emploi stable, mal connue statistiquement, qui ne trouve pas de réponse adaptée dans les politiques publiques actuelles. Et ledit rapport de rappeler que SNC a accompagné l’an dernier 3.600 personnes, grâce à 2.100 bénévoles répartis dans 184 groupes de solidarité en France, permettant d’obtenir un taux de 53% de « sorties positives » vers l’emploi en fin d’accompagnement. Pas sûr que Pôle Emploi fasse aussi bien… Alors forte de son expertise de terrain, Solidarités Nouvelles face au Chômage se fend de 15 propositions, rien de moins, pour lutter contre la privation durable d’emploi. Et ATD Quart Monde, tout comme le Secours Catholique, la fédération des acteurs de la solidarité ou Emmaüs France, se préparent à manifester dans trois semaines, le 17 octobre, pour la journée internationale de refus de la misère. Elles auront beau jeu de rappeler que TZCLD a déjà permis de créer plus de 2.000 emplois en CDI sur 58 territoires expérimentaux et que même l’Europe s’intéresse de près à ce dispositif, ce ne sera pas suffisant.   Des finances publiques locales bien secouées  Car l’enjeu relève in fine des finances publiques locales, passablement secouées ces dernières années. L’arrêté ministériel est en effet l’aboutissement de la pression de plusieurs départements, qui n’ont plus les moyens de financer ces postes à 102% du Smic. « Les territoires ne sont pas tous égaux dans les moyens d’ingénierie qu’ils peuvent déployer », commente Antonin Gregorio, directeur de l’association TZCLD, à Localtis. Dans un contexte budgétaire contraint, dans la foulée de la suppression de 15.000 nouveaux contrats aidés annoncée fin août par Olivier Dussopt, dans la droite ligne des inquiétudes exprimées cet été par les acteurs de l’insertion par l’activité économique (IAE), rien ne va plus. Selon Les Echos, à moins de percevoir une rallonge budgétaire d’urgence de 5 millions d’euros en plus du maintien du taux à 102 %, un grand nombre d’Entreprises à but d’emploi ne pourront sans doute pas couvrir les salaires des personnes déjà embauchées.  Les parlementaires voteront-ils un amendement rectificatif dans le projet de loi de finances 2024, qui sera présenté dès demain en Conseil des ministres ? Ou choisiront-ils de faire l’impasse sur le sujet, prétextant que le chômage est déjà suffisamment bas et considérant ce revirement budgétaire dans l’expérimentation Territoire zéro chômeur comme un dommage collatéral de l’objectif de plein emploi ? Décidément, mauvais timing.

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  • Barefoot College, un campus pour les pauvres par les pauvres

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  • Miimosa, lauréat du Prix Service B2C de la marque engagée

INFOS PARTENAIRES

  • Barefoot College, un campus pour les pauvres par les pauvres

    Notre visite dans cette organisation, bien connue en Inde pour son rôle auprès des communautés rurales et des femmes, nous emmène au cœur des problématiques de transmission et de pérennité des entreprises sociales. Nous découvrons la réalité complexe d’un projet vieux de 50 ans dont la transformation en 2015 s’est soldée par une scission récente. Dès notre départ de Paris en janvier 2023, Barefoot College fait partie des entreprises sociales sur la liste des organisations à rencontrer. Félix a rencontré Bunker Roy, le fondateur charismatique de cette école innovante, en 2010 à Oxford, lors d’une conférence. Le rendez-vous était donc, virtuellement, pris de longue date ! C’est d’ailleurs une des premières que nous visitons pendant notre voyage lors de notre passage au Rajasthan. Barefoot College n’est pas une ONG indienne comme les autres. Créée par Bunker Roy en 1972, l’organisation souhaite dès son origine recréer des ponts entre les ruraux et les urbains. Le premier logo de Barefoot College, qui s’appelle à l’époque “Social Work & Research Center” présente deux personnes se tenant par la main, pour montrer les liens à bâtir entre les ruraux et les urbains. Cette vision initiale est fortement nourrie par l’expérience et les origines de Bunker Roy lui-même. Celui-ci crée l’association ici après avoir quitté une carrière toute tracée et prometteuse dans la fonction publique ou une grande entreprise indienne. Le jeune homme de l’époque a été marqué par son expérience de la famine dans le Bihar où il est allé apporter de l’aide autour de 1966-1967. Roy se rend ensuite au Rajasthan avec un service d’aide catholique et l’association REWARDS (Rajasthan Emergency Water and Agricultural Development Society). En creusant des puits avec des travailleurs locaux, il visite le village de Tilonia et est choqué par le niveau de pauvreté des habitants. Il réalise aussi que, si l’eau est un réel sujet pour les locaux, il y a avant tout un besoin criant d’éducation et de formation à des méthodes agricoles et de santé essentielles pour assurer le développement de ces zones. Avec quelques amis, il décide d’apporter son aide aux villages ruraux très pauvres et s’installe lui-même à Tilonia. Il s’installe dans un ancien hôpital construit par les Britanniques. Les bâtiments appartenaient alors au gouvernement et étaient utilisés comme entrepôts. Un ami en poste au gouvernement accepte de lui louer pour une durée d’un an seulement, estimant qu’il ne resterait pas plus longtemps à Tilonia. Le loyer initial était d’une roupie par an ! Et c’est ainsi que Roy fonde le “Social Work & Research Center” comme un centre de recherche, de formation et d’aide sociale. C’est ce campus, qu’après avoir vu en vidéo, nous souhaitons voir de nos yeux. Une double visite inattendue Quelques jours avant notre arrivée à Barefoot College, nous sommes dans le train qui nous rapproche d’Ajmer, entre Jodhpur, la ville bleue et Jaipur, la ville rose. En quelques sms avec nos contacts sur place, notre visite prend un tour assez inattendu. Notre premier interlocuteur, Harsh, nous répond après quelques semaines de silence et d’incertitude pour nous confirmer les détails de notre arrivée sur le campus. Nous le rassurons en lui disant que nous sommes aussi en contact avec quelqu’un d’autre dans l’organisation, Jaswanth, via une de nos amies résidant en Inde. C’est à ce moment-là que nous apprenons que tous deux ne sont plus dans le “même” Barefoot College”. L’organisation s’est scindée en deux en 2021 et deux campus cohabitent à Tilonia, à 7km de distance l’un de l’autre. L’équipe de Barefoot College International, structure créée en 2015, s’est détachée de l’organisation initiale Barefoot College. La nouvelle nous laisse perplexes et nous gêne : est-ce problématique d’aller voir à quelques jours d’intervalle deux équipes d’un même projet initial qui se sont séparées, visiblement dans des termes assez conflictuels ? nos deux contacts nous disent que non et que nous pouvons les visiter tous deux. Nous découvrons néanmoins que la scission est effectivement loin d’être pacifique et qu’un procès est en cours début 2023 pour déterminer la propriété et le droit d’usage du nom “Barefoot College”. La court de Delhi a depuis rendu son verdict et la branche “Barefoot College International” a dû cesser d’employer ce nom et s’appelle désormais “Bindi International” pour ses opérations en Inde. Ce sont ces rencontres, ces 50 années d’innovation sociale et la récente crise de gouvernance de l’organisation que nous avons voulu partager avec vous dans ce dossier. NB : dans ce dossier, nous nommons “Barefoot College International” l’organisation liée à Barefoot College jusque 2021 et Bindi International l’organisation que nous avons rencontrée qui a été renommée suite à la scission et à la décision de justice. 1) Barefoot College International, le campus indien à la conquête du monde 2) “For the poor, by the poor”, le campus historique de Barefoot College Tilonia 3) Cinq décennies d’innovation sociale au service des campagnes 4) Barefoot College, face à l’évolution de la philanthropie mondiale et la transmission à une nouvelle génération Conclusion Un cas d’école d’organisation générant un impact systémique et local sur des décennies aux prises avec des enjeux de succession, de continuité et de fidélité à ses valeurs. Pour nous, cette transmission difficile et en partie ratée pour le moment montre plusieurs choses qui feront certainement écho à différents enjeux auxquels font face les entrepreneurs sociaux en France. La figure du fondateur charismatique est un atout essentiel pour incarner la mission d’une entreprise sociale, surtout quand celle-ci est fortement militante et entend questionner le statu quo et démontrer, contre toute prédiction, que l’on peut réussir à relever d’énormes défis sociaux et environnementaux. Au moment de la transition, surtout après 50 ans d’existence, cet héritage est légué à d’autres qui se l’approprient en fonction de leur propre parcours, leurs connaissances et croyances. Des évolutions arrivent nécessairement et une part de l’héritage peut être abandonné dans le processus. Selon les mots de Rama Kummitha, pour une organisation telle que Barefoot College, il s’est s’agit à un moment donné de choisir entre deux stratégies : “sustain Lire la suite…

  • Les bifurqueurs : des étudiants de grandes écoles qui font le choix de l’ESS

    Les « bifurqueurs », de plus en plus nombreux parmi les étudiants des grandes écoles, refusent de travailler pour des entreprises qui n’en font pas assez en matière d’écologie et appellent à un sursaut face à l’urgence climatique. Ils représentent une nouvelle génération d’individus, d’initiatives et de projets audacieux qui remettent en question les modèles établis et proposent des alternatives pour créer un impact positif dans la société. Les bifurqueurs ouvrent de nouvelles voies, inspirant les dirigeants, entreprises et organisations de l’ESS à repenser leurs pratiques et à contribuer à un monde plus solidaire et responsable. Éléments de réponse avec nos intervenants : Anna Moizesz, Responsable communication de MoHo Alice David, Consultante chez YourVoice Ecoutez l’épisode du podcast : https://ensemble.aesio.fr/aesio-mag/podcasts-aesio/sens-solutions-ess#ancre8

  • Miimosa, lauréat du Prix Service B2C de la marque engagée

    Le Prix Services B2C a été décerné par l’ILEC à la plateforme MiiMOSA, spécialisée dans le financement participatif dédiée à l’agriculture, lors du Grand Prix de la Marque Engagée 2023. Florian Breton, fondateur de Miimosa, et Sophie Palauqui, responsable des pôles RSE et Marketing à l’ILEC, l’Institut de Liaison des Entreprises de Consommation, ont répondu à nos questions. Partenaire de la 6e édition du Grand Prix de la Marque Engagée, organisé par LinkUpFactory sur le salon Produrable 2023, Mediatico a eu le plaisir d’interviewer les différents lauréats en descente de scène, durant le tournage vidéo réalisé par Impact Productions. Au total, huit prix ont été remis dans différentes catégories : le Prix Startup, décerné à Mob-Ion (Christian Bruère, président) le Prix Marque & ONG, décerné à Petit Bateau (Jean-Marc Guillemet, directeur des opérations) & Water Family (Elodie Agamennone, coordinatrice) le Prix Ville & Territoire, attribué à Somme Tourisme (François Bergez, directeur, et Léa Manot, chargée de mission Tourisme de mémoire) le Prix de la Personnalité Engagée, décerné à Isabelle Aprile (Sodexo La Passerelle, CEO) le Prix de la Marque à Mission, attribué au Groupe Cheval (Jean-Pierre Cheval, président) le Prix B2B, attribué à Saint-Gobain (Isabelle Pirès, responsable marketing et développement durable, et Fabrice Desmons, International product strategy director) le Prix Services B2C, décerné à MiiMOSA (Florian Breton, fondateur) le Prix Produits B2C, attribué à Rowenta (Juliette Sicot-Crevet, directrice développement durable, et Pierre-Henry Descubes, directeur de produit International) Toutes les interviews des lauréats sont à retrouver dans l’espace Produrable sur Mediatico.fr :https://www.mediatico.fr/partenaires/produrable/

  • Petit Bateau et Water Family, lauréats du Prix Marque & ONG engagées

    Le Prix Marque & ONG a été décerné par Hervé Navellou, PDG de L’Oréal, à Petit Bateau et à Water Family pour leur partenariat solidaire à l’international, durant le Grand Prix de la Marque Engagée 2023. Jean-Marc Guillemet, directeur des opérations de Petit Bateau, et Elodie Agamennone, coordinatrice de Water Family, ont répondu à nos questions. Partenaire de la 6e édition du Grand Prix de la Marque Engagée, organisé par LinkUpFactory sur le salon Produrable 2023, Mediatico a eu le plaisir d’interviewer les différents lauréats en descente de scène, durant le tournage vidéo réalisé par Impact Productions. Au total, huit prix ont été remis dans différentes catégories : le Prix Startup, décerné à Mob-Ion (Christian Bruère, président) le Prix Marque & ONG, décerné à Petit Bateau (Jean-Marc Guillemet, directeur des opérations) & Water Family (Elodie Agamennone, coordinatrice) le Prix Ville & Territoire, attribué à Somme Tourisme (François Bergez, directeur, et Léa Manot, chargée de mission Tourisme de mémoire) le Prix de la Personnalité Engagée, décerné à Isabelle Aprile (Sodexo La Passerelle, CEO) le Prix de la Marque à Mission, attribué au Groupe Cheval (Jean-Pierre Cheval, président) le Prix B2B, attribué à Saint-Gobain (Isabelle Pirès, responsable marketing et développement durable, et Fabrice Desmons, International product strategy director) le Prix Services B2C, décerné à MiiMOSA (Florian Breton, fondateur) le Prix Produits B2C, attribué à Rowenta (Juliette Sicot-Crevet, directrice développement durable, et Pierre-Henry Descubes, directeur de produit International) Toutes les interviews des lauréats sont à retrouver dans l’espace Produrable sur Mediatico.fr :https://www.mediatico.fr/partenaires/produrable/

ESS ON AIR : LE REPLAY

  • Une rentrée à petits prix grâce à l’économie sociale et solidaire

    Comment faire une rentrée à petits prix ? C’est la question que tous les Français se posent en cette rentrée, rendue particulièrement compliquée à cause de l’inflation. Bonne nouvelle : l’économie sociale et solidaire propose des vraies solutions !  Dans cette première édition de « ESS News – le Live », la nouvelle émission de Mediatico, nous parlons des sujets chauds de l’actualité au travers de l’économie sociale et solidaire. Et cette semaine, nous recevons deux invités qui répondent en direct à nos questions… et aux vôtres si vous êtes en live sur Twitch avec nous : Maud Sarda, directrice et cofondatrice de Label Emmaüs  Séverin Prats, président co-fondateur de la carte cadeau Ethi’Kdo Au menu de cette émission, très riche dans la nature des sujets abordés : Du social : l’inflation, le plan pauvreté du gouvernement, les Restos du Coeur… et Forbes ! Du collectif : la rentrée des coopératives, le festival L’Onde de Coop, l’élargissement des Licoornes Du climat : la planification écologique de la France, la photo « Born in 340 ppm » de Maud Sarda Du sport : Séverin Prats en rugbyman, la Coupe du monde de rugby, ses émissions de CO2, et la prochaine transat Jacques Vabre aux couleurs de Label Emmaüs Avec ESS News Le Live, l’économie sociale et solidaire nous fait voyager dans tous les domaines de l’actualité. C’est parti pour le replay sur cette page, et en live dès la semaine prochaine sur Twitch avec de nouveaux invités… avec vos questions bien sûr !

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