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ACCUEIL » INFOS PARTENAIRES » Impact 13 Le chemin du Zéro déchet, pour consommer durable et plus responsable

Le chemin du Zéro déchet, pour consommer durable et plus responsable

Par Valentin 15/08/2021
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À la télé, à la radio, sur les blogs ou les réseaux sociaux, tout le monde parle de lui. Et pour cause, il découle d’un des plus grands défis de notre génération : la réduction de notre consommation de produits jetables. C’est le fameux mode de vie “zéro déchet”. Chez Impact 13 on a donc voulu mettre à l’honneur des héros qui se battent pour réduire notre impact environnemental, direction Arles pour les découvrir !

Le zéro déchet : de quoi parle-t-on ?

Le zéro déchet : une démarche progressive et positive

En France nous produisons 4,8 millions de tonnes de plastique par an, soit 70 kilogrammes par habitant. Face à ces chiffres, qui ne cessent de croître, est apparue la nécessité de réduire notre production de déchets afin de limiter leurs effets négatifs sur la planète. Épuisement des ressources naturelles, pollutions et gaspillage, les ravages produits par la production du plastique sont nombreux. La bonne nouvelle c’est que les initiatives pour le contrer le sont aussi !

Le “zéro déchet” ou “zero waste” en anglais désigne une démarche pour réduire notre impact sur l’environnement. Waste désignant “déchet” et “gaspillage” en anglais, il s’agit de diminuer la quantité de déchets que nous produisons et donc leurs impacts négatifs sur la planète. Bien sûr, il ne s’agit pas de transformer ses placards en un paradis pour minimalistes, mais bien d’amorcer une démarche progressive pour réduire notre consommation de plastique.

Repenser sa manière de consommer

Depuis les années 1960, le plastique est devenu roi. Il a permis de répondre à toutes les fonctions d’emballage telles que la production du produit, sa protection pendant le transport, la préservation de la qualité de son contenu ou encore sa sécurité sanitaire. Pour nous aider à nous détacher de plus de 50 ans d’habitude, Béa Johnson, blogueuse et conférencière française spécialiste du mode de vie « zéro déchet », nous propose un petit guide avec les principales étapes pour emprunter en douceur ce nouveau mode de vie. 

Elle s’appuie sur la règle des “5R” pour réduir nos déchets à la source, allonger la durée de vie des objets et revaloriser si possible les déchets produits : 

  • Refuser : Commencer par dire non à ce dont nous n’avons pas besoin et à un maximum d’objets à usage unique. Exemple typique, on remplace sa bouteille d’eau plastique par une gourde !
  • Réduire : Achetez les quantités justes pour réduire son gaspillage alimentaire 
  • Réutiliser : Privilégier les objets réutilisables, acheter d’occasion, louer ou emprunter 
  • Recycler : Recycler les objets et matières revalorisables 
  • Rendre à la terre : composter ses matières organiques (restes alimentaires, épluchures de légumes etc). 

Le recyclage : la fausse bonne idée ?

Vous l’aurez compris, le coeur de la démarche zéro déchet est la réduction de notre impact environnemental faisant du principe de recyclage une solution de second plan. Dans l’idée, le meilleur déchet, c’est celui qu’on ne produit pas !

Aujourd’hui, la majorité des emballages plastiques n’est pas recyclée. Sur le 1,2 million de tonnes de déchets ménagers d’emballages plastiques produits chaque année en France, seulement 26,5 % sont recyclés. Ainsi, le recyclage ne suffit ni à découpler la production d’emballages plastiques de la consommation de ressources pétrolières, ni à stopper la production de déchets. Et pour preuve, en France, 80 000 tonnes de déchets plastiques, emballages ou non, fuitent dans la nature chaque année, dont plus de 10 000 tonnes dans la Méditerranée.

Il devient donc urgent, au-delà de l’amélioration de notre système de recyclage, de réduire à la source les quantités d’emballages plastiques à usage unique en les substituer par des alternatives plus économes en ressources naturelles.

Concrètement, comment on fait pour réduire notre impact et consommer plus responsable ?

1) On accueille le vrac dans sa vie

Les emballages représentent 40% du plastique utilisé en Europe tous les ans. Alors pour éviter que ces derniers ne se retrouvent dans la nature faute de recyclage, de nombreuses initiatives fleurissent autour du principe du vrac. 

Popularisé d’abord pour l’achat des fruits et légumes et des produits secs (riz, pâtes, fruits à coques…), il s’étend désormais aux produits cosmétiques et ménagers. Aujourd’hui il prend de plus en plus d’ampleur dans les rayons de nos grandes surfaces ou dans des épiceries spécialisées. 

Parmi elles, Bocal and Co, créé en 2017 par Laurine Darme, est la première épicerie indépendante vrac & bio à Arles entièrement dédiée au mode de vie “zéro déchet”. Sur place, chaque produit est vendu en vrac ou dans des contenants consignés, réutilisables ou recyclables (ex en papier kraft) et pour certaines exceptions en sachet plastique (pour les contraintes d’hygiène, de logistique, de conservation…). Produits de beauté version solide, gourdes, recouvre bols en coton pour remplacer le film alimentaire, produits en vrac, toutes les options sont bonnes pour consommer plus responsable.

le vrac unsplash
Source : Unsplash

2) On réduit sa consommation de plastique

Selon l’étude Le plastique ça n’emballe plus, menée WWF, 310 millions de tonnes de déchets plastiques ont été générés en 2016, soit l’équivalent de plus de 2 000 bouteilles d’eau en plastique pour chaque humain sur Terre. 

C’est pour lutter contre ce fléau que Stéphanie Dick, éco-designer engagée au sein du réseau Zero Waste, lance en 2019 le Challenge Zéro Bouteille. Avec le soutien de l’association Zéro Déchet Pays d’Arles, de la Communauté d’agglomération ACCM (Arles-Crau-Camargue-Montagnette), et de la Région Sud, elle embarque les commerçants arlésiens dans un changement de pratique plus respectueux de l’environnement. Le principe est simple, remplacer une bouteille d’eau plastique par un nouveau fidèle compagnon : la gourde ! 

Et toi, déjà passé à la gourde ? 

3) On achète moins et on fait durer !

On abandonne bien souvent l’affaire lorsqu’il s’agit de réparer un objet usagé. Par manque de temps, d’envie ou de connaissances, de nombreux objets finissent au fin fond des placards ou de nos poubelles ! La culture du tout jetable a également raccourcit leur durée de vie, nous menant vers la solution de facilité : le rachat. Hors la réutilisation et la durée de vie de nos objets est un point essentiel du mode de vie zéro déchet. Bonne nouvelle, pour réduire notre impact environnemental il existe de nombreuses initiatives et parmi elles l’association Convibicy. Depuis 2017, celle-ci propose d’apprendre aux arlésiens à réparer leur vélo avec l’aide de bénévoles et grâce à la mise à disposition d’outils. Un petit lifting qui permet bien souvent à nos deux roues d’éviter la casse !

D’autres initiatives proposent de dépoussiérer et d’optimiser l’utilisation de nos objets du quotidien. Qui n’a pas d’appareil à raclette, à smoothie, une combinaison de ski ou encore des rollers qui dorment dans son placard ? Plutôt que d’acheter des objets destinés à être utilisés ponctuellement, l’entreprise les Biens en commun, propose aux voisins d’immeubles de se prêter leur petit électroménager. A la clé: partage, lien social, économies et réduction de son impact environnemental ! Dans la même famille,  ShareAthlon, propose grâce à sa plateforme de partager ses d’équipements sportifs. Plus d’excuses pour ne pas apprendre à faire du skate !

4) On donne une seconde vie à nos déchets alimentaires

Épluchures de légumes, coquilles d’œufs ou fonds d’assiettes, et si on leur donnait une seconde vie ? C’est le principe du compost, produit issu de la fermentation des déchets organiques en présence d’oxygène et sous l’action combinées de bactéries, de champignons et autres micro-organismes. Bien que ce joyeux mélange soit loin d’être appétissant, il s’avère intéressant pour les jardiniers en herbe qui souhaitent chouchouter leur plantes puisque celui-ci s’apparente à du terreau. Et quand on sait que ces biodéchets représentent ⅓ de nos poubelles, on se dit qu’on a de quoi faire ! 

À plus grande échelle que le compost produit dans votre cuisine, l’entreprise Humus développe une filière de valorisation des biodéchets alimentaires par compostage afin de transformer les biodéchets en véritables ressources. En 2020, ils ont par exemple collecté et valorisé environ 30 tonnes de biodéchets issus d’une quinzaine de professionnels du centre-ville d’Arles (restaurants, primeur et épicerie). L’entreprise permet également à près de 70 foyers Arlésiens de profiter d’un site de compostage partagé depuis 2019. 

Source : Unsplash

On vous rassure, devenir un pro du zéro déchet ne s’improvise pas du jour au lendemain, c’est un chemin ! L’achat d’une gourde, de produits vracs, l’utilisation de savons solides, de sacs cabas… tout est bon pour réduire son impact environnemental sans culpabiliser !

La thématique du zéro déchet t’intéresse ? Creuse le sujet avec notre article sur l’emballage à usage unique ou encore l’initiative des Alchimistes qui valorise les biodéchets lillois grâce au compost !

Vidéo proposée par Antinéa Esteban

Article réalisé par Morgane Sebastiao

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    Qui oserait dire que le gouvernement ne fait rien ? Dans la seule journée de lundi, voilà que nous ont été présentés un plan pauvreté ET un plan climat. Ou plus exactement un « Pacte des solidarités » et une « Feuille de route pour la planification écologique ». Deux pour le prix d’un. L’époque est aux rabais. En période d’inflation c’est une aubaine.  Le social et l’écologie donc, au premier rang des priorités d’Emmanuel Macron. Voilà qui devrait satisfaire l’économie sociale et solidaire, tant ces deux sujet traversent tous les engagements des acteurs de la transition écologique et sociale. Mais à y regarder de plus près, le doute est entier. Car, de longue date maintenant, les actions ne suivent pas la communication.  « Donc ce que vous proposez, comme d’habitude, c’est de la poudre de perlimpinpin », adressait Emmanuel Macron à Marine Le Pen, dans l’entre-deux tours de la présidentielle de 2017. La remarque mérite aujourd’hui de lui être retournée. Revenons légèrement en arrière, pour juger des paroles et des actes. Nous avons eu le Grand débat national, au temps des gilets jaunes. Les cahiers de doléance des Français ont calmé le jeu. Ouf ! Ils sont aujourd’hui sûrement très bien rangés quelque part. Nous avons eu la Convention Citoyenne pour le Climat. Avec ces 149 propositions citoyennes qui devaient, juré-craché, se traduire dans la loi. Mais 90% n’ont pas été retenues. Le Conseil National de la Refondation ? Ah oui, déjà oublié. Plus mythique que lui, tu meurs. Vendre l’essence à perte, annoncé ce week-end ? Aucune logique économique. Un tour de prestidigitation. Une décision sauve-qui-peut pour ne pas réveiller les gilets jaunes, qui dit tout de l’impuissance de l’Etat. Les Français n’y croient guère. Les pompistes n’en veulent pas. Seuls les plus grands réseaux de distribution en sortiront gagnants, en éreintant leurs concurrents. Pas les Français, victimes de l’inflation. Alors comment ne pas comprendre le ras-le-bol des associations sur le plan pauvreté, présenté avec huit mois de retard sur le calendrier initial ? « Nous craignons un nouveau plan de gestion de la pauvreté et non pas de réduction de la pauvreté », indiquait à Libération, dès dimanche, Noam Léandri, du collectif Alerte, qui fédère 34 associations et fédérations de solidarité.  Comment espérer éradiquer la misère quand 11 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté monétaire, soit avec un revenu inférieur à 1.100€ par mois, relève Oxfam. L’étude sur “l’inclusion financière” de la Banque de France, publiée début septembre, ne rassurera personne. Elle pointe une nouvelle hausse de 6% du nombre de dossiers de surendettement sur un an.  Et en même temps, comment croire en cette fameuse planification écologique, remise en selle par Elisabeth Borne ce lundi ? « Alerte disparition : nous avons perdu le Conseil de la Planification Écologique », raillait la semaine dernière le Réseau Action Climat. « Rejoindra-t-il le cimetière des bidules macroniens, ou débouchera-t-il sur une feuille de route solide permettant de cadrer sérieusement la transition écologique ? », interroge pour sa part Pascal Riché dans L’Obs.  Il faut dire que l’ambition de réduire de 55% nos émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2030 nécessite d’investir 30 milliards d’euros par an, ont calculé pour Bercy et Matignon les spécialistes du Secrétariat Général à la Planification Écologique. Mais où les trouver quand les caisses de l’État sont vides, à force d’avoir baissé les impôts, par dogmatisme, à marche forcée ? En attendant, la pauvreté ça coûte combien ? Le « Pacte des solidarités » présenté lundi par Elisabeth Borne, qu’elle qualifie d’ « ambitieux », marque « une augmentation de 50% des crédits dédiés à la lutte contre la pauvreté par rapport à la stratégie précédente », a-t-elle assuré.  Mais éclatée entre les prestations sociales, les bourses étudiantes, l’hébergement d’urgence, la précarité énergétique, le dédoublement des classes en zone prioritaire, le 100% santé pour les précaires et j’en passe, cette augmentation budgétaire est illisible. Et ressemble vraiment à de la poudre de Perlimpinpin.

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