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ACCUEIL » INFOS PARTENAIRES » Ville de Paris Paris Fertile : Comment Romain a fondé la Brasserie des Regards

Paris Fertile : Comment Romain a fondé la Brasserie des Regards

Par Mediatico 27/11/2022

Avec le programme Paris Fertile, la Ville de Paris soutient des actions qui contribuent à accompagner les Parisien.ne.s désireux de travailler dans les secteurs de l’agriculture et l’alimentation durable.

Romain a bénéficié de l’accompagnement de Veni Verdi pour monter son projet de houblonnier brasseur. Lauréat de l’appel à projet Parisculteurs, il a pu créer une houblonnière urbaine et a fondé la Brasserie des Regards qui propose une gamme de bière brassées à Paris. Un reportage réalisé par Mediatico / Impact Productions.

Paris Fertile, c’est quoi ?

Paris Fertile est un appel à projets visant à soutenir des formations professionnelles aux métiers de l’agriculture durable, et accompagner les personnes en recherche d’emploi ou en reconversion vers ces métiers.

Dans le cadre de sa politique d’alimentation durable et afin de contribuer à la transition de l’agriculture, la Ville de Paris a lancé le dispositif « Paris Fertile » permettant de soutenir des actions qui contribuent à accompagner les Parisien.ne.s désireux.ses de travailler dans les secteurs de l’agriculture et l’alimentation durable. L’agriculture durable étant entendue comme une agriculture nourricière, résiliente, diversifiée, respectueuse de l’environnement, de la biodiversité et de la santé des producteurs comme des consommateurs.

Les actions soutenues dans le cadre de Paris Fertile permettent de découvrir l’étendue des métiers, de se former et d’être accompagné.e pour devenir salarié.e ou pour créer une activité dans le domaine de l’agriculture ou de l’artisanat alimentaire durable.

La première édition de Paris Fertile a permis de sensibiliser, former ou accompagner la création d’activité de près de 500 Parisien.ne.s.

Paris Fertile : pour qui ?

Les personnes pouvant bénéficier des formations Paris Fertile sont les Parisien.ne.s demandeur.se.s d’emploi ou salarié.e.s en reconversion professionnelle, quel que soit leur âge ou niveau de qualification. La diversité des offres proposées dans le cadre de Paris Fertile doit permettre à chacun.e de trouver la formule adaptée à son projet.

Le programme Paris Fertile 2021-2022

Les formations proposées dans le cadre de Paris Fertile recouvrent différents champs :

  • Les actions de découverte des métiers de l’agriculture et l’alimentation durable (de 1 à 5 jours) ;
  • les formations préqualifiantes, qualifiantes ou certifiantes pour s’orienter en priorité vers le salariat dans ces métiers (de 1 à 6 mois) ;
  • les parcours de création d’activité, pour s’installer en agriculture ou créer une activité de transformation alimentaire durable.

Ce classement permet de trouver plus facilement la formation adaptée à ses besoins mais il n’est pas exclusif. Certaines formations pour s’orienter vers le salariat pourront aussi conduire à un parcours de création d’activité et inversement

L’ensemble des formations sont consultables dans le catalogue Paris Fertile 2022/2023

  • Catalogue PARIS FERTILE 2022 2023

Comment postuler ?

Les personnes qui souhaitent s’inscrire à l’une des formations proposées dans le programme Paris Fertile peuvent se manifester directement auprès des structures qui les mettent en place, selon les modalités indiquées dans les fiches du catalogue.

Contact

L’équipe de Paris Fertile est à l’écoute. Vous pouvez nous contacter à l’adresse suivante : dae-paris-fertile@paris.fr

➽ Plus d’informations : https://www.paris.fr/pages/paris-fert…
Abonnez-vous pour voir toutes nos vidéos : https://www.youtube.com/user/mairiede…

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Edito

  • Bon anniversaire à la Loi Pacte ! Et à la Loi ESS ?

    Le Mouvement Impact France aurait pu célébrer le 4e anniversaire de la Loi Pacte la semaine dernière, mais ses membres étaient occupés à bien d’autres festivités : après plusieurs semaines de débats enflammés sur les réseaux sociaux (lire sur Mediatico), Pascal Demurger et Julia Faure ont en effet été élus haut-la-main, ce 24 mai, à la co-présidence du MIF, par 86% des adhérents. Un « plébiscite », assure le Mouvement (lire le communiqué). Sachant qu’une liste unique se présentait, le score m’apparaît toutefois un peu plus mitigé : 14% des adhérents ont voté contre – et pourraient donc quitter le mouvement – refusant le projet politique de la nouvelle gouvernance, qui entend élargir le MIF à des entreprises particulièrement engagées… dans la droite ligne des opportunités ouvertes par la Loi Pacte de 2019.  Certes, le réseau de conseil et d’audit KPMG ne fera pas partie du MIF : violemment critiqué sur les réseaux sociaux pour favoriser l’optimisation fiscale des entreprises, donc à rebours d’un engagement vertueux des entreprises pour leurs parties prenantes et leur écosystème, KPMG a en effet renoncé in extremis à intégrer le conseil d’administration du MIF. Mais d’autres entreprises plus classiques, dites « à mission », labellisées B-Corp, ou considérées comme « exemplaires » en matière de RSE, deviennent pour leur part administratrices du Mouvement Impact France : c’est le cas de la SNCF ou de Doctolib. Merci la Loi Pacte… même si cela dérange certains ! Promulguée le 22 mai 2019, voilà 4 ans tout juste, la loi Pacte voulait instaurer un Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE). À coup de multiples dispositions fiscales d’une part, mais aussi en repensant le partage de la valeur avec les salariés, les écarts de salaires, la gouvernance des entreprises et leur place dans la société, allant jusqu’à leur proposer d’instaurer une « raison d’être » voire une « mission » sociétale dans leurs statuts. Quatre ans plus tard, à quoi la loi Pacte a-t-elle servi ? Ses 221 articles, fort disparates, la rendent bien difficile à évaluer. France Stratégie la juge trop « récente » pour en dresser le bilan (lire son rapport), estime les avancées bien timides sur le partage de la valeur et considère que le statut de société à mission reste encore « marginal » dans l’économie française. Cette loi, que Mediatico a toujours jugé progressiste pour le monde de l’entreprise, est-elle pour autant une mauvaise loi ? Assurément non. Le Mouvement Impact France peut-il s’en revendiquer, même à demi-mots ? C’est évidemment son droit souverain, même si cela irrite une partie de l’économie sociale et solidaire. Faut-il pour autant réviser la loi Pacte ? Personne ne demande rien de tel. Alors pourquoi faudrait-il revoir la Loi ESS de 2014, dite loi Hamon ? D’un anniversaire à l’autre, celle-ci fêtera l’an prochain ses 10 ans. Certes, le temps de l’évaluation est un peu plus long, mais bien trop court encore aux yeux d’ESS France qui aimerait bien la voir entièrement appliquée avant de vouloir la réviser. Or, plusieurs voix de l’entrepreneuriat social réclament non seulement son évaluation, mais aussi, justement, sa révision. De l’ancien Haut-commissaire Christophe Itier à l’ex-président du Mouves Jonathan Jérémiasz (revoir son interview sur Mediatico), ils demandent notamment la réécriture du long article 1, qui porte sur la définition de l’ESS et assimile un peu trop vite l’entrepreneuriat social aux « sociétés commerciales de l’ESS » agréées ESUS (lire l’article 1). Qu’en pense Marlène Schiappa ? Au vu des débats enflammés des dernières semaines et de ceux qui pourraient encore advenir, la Secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire et à la Vie associative organisera jeudi une table ronde sur l’avenir de l’ESS. Mediatico y sera, avant de recevoir la ministre, dans notre studio, pour une interview sans détours. Nous l’interrogerons sur l’opportunité politique de débaptiser la Loi Hamon pour en faire une Loi Schiappa ! Non sans lui rappeler que de belles lois du secteur de l’économie sociale et solidaire parviennent à traverser le temps, voire les siècles. Comme celle qui protège nos libertés associatives depuis 1901. Recevez chaque semaine l’édito de Mediatico par e-mail

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  • Pascal Demurger, Maif : « Notre mission nous incite à privilégier nos sociétaires avant l’entreprise »

    Pascal Demurger est candidat avec Julia Faure à la co-présidence du Mouvement Impact France, qui tiendra son assemblée générale le 24 mai prochain. Pour l’occasion, Mediatico republie le portrait réalisé avec Pascal Demurger en 2020 sur son engagement d’entrepreneur à mission. A l’heure de la crise, et s’il était l’heure d’inventer un nouveau modèle d’entreprise tourné vers le « bien commun » ? Et si l’on réconciliait l’éthique et la performance de l’entreprise, pour gagner en attractivité et conquérir de nouveaux marchés ? C’est ce que font certains dirigeants “pionniers”, qui ont décidé d’inscrire dans leurs statuts une « mission » supérieure à celle de leur simple rentabilité. Et c’est ce qu’a fait la Maif. La mutuelle d’assurance connue pour son slogan “d’assureur militant”, a pour fonction première de protéger ses sociétaires, comme toute mutuelle. La Maif est donc devenue une entreprise à mission. Elle réalise près de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais elle n’a pas d’actionnaires. Elle a centré sa raison d’être sur « l’attention sincère portée à l’autre et au monde». Et pour Pascal Demurger, son directeur général, conduire une entreprise à mission est « source d’un alignement personnel entre l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité », nous révèle-t-il dans cette longue interview. Bienvenue dans “Entreprises en Mission”. Le podcast de Prophil et Mediatico qui interroge l’engagement des entreprises et la sincérité de leurs dirigeants. [article initialement publié le 30/11/2020 sur Mediatico]

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