• EDITOS
  • L’ACTU
  • INITIATIVES
  • PORTRAITS
  • REPORTAGES
  • ESS ON AIR
  • NOUS SOUTENIR
    • Mot de passe perdu ou première connexion ?

Activer/désactiver barre latérale & navigation
  • EDITOS
  • L’ACTU
  • INITIATIVES
  • PORTRAITS
  • REPORTAGES
  • ESS ON AIR
  • NOUS SOUTENIR
    • Mot de passe perdu ou première connexion ?

Mediatico

ACCUEIL » INITIATIVES » Ekodev : “Une gouvernance partagée et structurée est puissante”

Ekodev : “Une gouvernance partagée et structurée est puissante”

Par Mediatico 23/01/2020

Rencontre avec Timothée Quellard, ingénieur, co-fondateur d’Ekodev, qui nous dessine les contours de l’entreprise du futur.

Maîtrise énergétique, menaces climatiques, mobilité durable, biodiversité… En matière de développement durable, les défis posés aux entreprises ne cessent de croître. Voilà 10 ans, désormais, que la société de conseil Ekodev partage son expertise : conseils opérationnels, recommandations sur les bonnes actions à mettre en place, transmission des codes permettant de valoriser ces actions, de susciter l’adhésion et de piloter la stratégie-même d’une entreprise en intégrant ses enjeux de responsabilité sociétale… Dix ans plus tard, le succès est au rendez-vous.

Mais « les premières années ont été compliquées : il a fallu effectuer un véritable travail d’évangélisation », se rappelle Thimothée Quellard, à la tête de l’entreprise avec ses deux associés. Peu à peu, les entreprises se sont saisies du sujet. La prise de conscience des milieux économiques est advenue. Le cadre réglementaire s’est mis en place. Et la croissance d’Ekodev s’est traduite par l’évolution du nombre de clients – 450 à ce jour – et par une multiplication par 7 du nombre de ses salariés.

Aujourd’hui, les salariés d’Ekodev sont d’autant plus enthousiastes et déterminés qu’une participation au capital de la société leur est proposée. De plus, le choix d’un management équitable, transparent mais néanmoins structuré se met aussi progressivement en place. « Une gouvernance partagée et structurée est puissante en terme de prise de décision », souligne Timothée Quellard. Le dirigeant entend à présent développer l’expertise d’Ekodev sur un nouveau segment : les questions de gouvernance et de transparence, évidemment. 

Partagez cet article

Plus dans le thème Emploi, insertion

28/06/2022

Festival du Mieux Manger : Farinez’Vous inaugure sa troisième boulangerie solidaire

16/06/2022

Germinal signe un partenariat pour l’inclusion numérique avec le géant Rakuten

14/06/2022

L’économie sociale et solidaire citée en exemple à l’OIT

En voir plus

Plus dans le thème Entreprises & RSE

15/07/2022

RSE : l’agence Lucie franchit le cap des 1.000 membres et lance le label “Lucie Positive”

23/06/2022

Economie soutenable : TEK4life lance la « Fête à Pigou »

20/06/2022

Prenez votre part : Les “Licoornes” lèvent des fonds !

En voir plus

Plus dans le thème Entreprises à mission

06/04/2022

Mediatico partenaire du Grand prix de la marque engagée 2022 : les candidatures sont ouvertes !

11/01/2022

Et si 2022 ouvrait l’ère de la post-croissance ?

15/12/2021

La Poste, un groupe résolument tourné vers le climat

En voir plus

VOUS AIMEZ MEDIATICO, ABONNEZ-VOUS !

Plus dans la rubrique "INITIATIVES"

  • Pour vos vacances, choisissez FairBnb : le nouvel acteur du tourisme solidaire

  • Festival du Mieux Manger : Farinez’Vous inaugure sa troisième boulangerie solidaire

  • Fruggr, l’appli qui scanne l’empreinte socio-environnementale des plateformes numériques

Newsletter

Inscrivez-vous à notre newsletter, c'est gratuit ! Chaque semaine, une thématique, un édito et des vidéos qui redonnent du sens à l'économie.

VOUS AIMEZ MEDIATICO, ABONNEZ-VOUS !

ESS ON AIR : LE REPLAY

  • [EssOnAir] Télécoop, Commown et les Licoornes prolongent leur levée de fonds

    Décidément, les coopératives ont une approche radicalement différente de l’économie. Non seulement parce qu’elles placent la coopération au premier rang de leurs valeurs d’entreprises, loin de la compétition traditionnelle en économie. Mais aussi parce qu’elles proposent des offres innovantes sur des marchés traditionnels, comme celui des télécoms par exemple. Et enfin, parce qu’elles n’ont pas peur d’utiliser les codes du marketing pour élargir leur cible de clientèle ou pour lever des fonds, comme le font leurs concurrents. Lors de leur venue chez Mediatico, c’est ce que sont venus démontrer Télécoop, premier opérateur téléphonique coopératif qui nous aide à limiter notre empreinte numérique, ainsi que Commown, la coopérative d’électronique responsable qui défend l’usage des communs et qui propose de mutualiser nos objets électroniques. Dans ce nouveau numéro de #EssOnAir, le talk-show de Mediatico qui donne la parole aux acteurs de l’économie sociale et solidaire, nous recevions donc cette semaine : Marion Graeffly, co-fondatrice de TeleCoop Adrien Montagut, co-fondateur de Commown Le pitch Marion Graeffly et Adrien Montagut ont d’abord expliqué l’origine de leurs entreprises et les principaux enjeux de leur secteur d’activité : épuisement des ressources, fracture numérique, sobriété de consommation… D’où l’indispensable besoin de mutualisation de nos équipements électroniques : Marion Graeffly : « Le point de départ de Télécoop, c’est une prise de conscience : le numérique n’est pas une ressource illimitée. Il ne sert pas non plus à tout le monde, contrairement à la promesse initiale du numérique. Télécoop permet aux utilisateurs de reprendre en main leur vie numérique. Nous sommes un opérateur indépendant et nous proposons deux offres à nos clients : une offre “sobriété” et une offre “transition” ». Adrien Montagut : « Durant la crise des semi-conducteurs à Taiwan, on a demandé aux agriculteurs de consommer moins d’eau pour continuer de produire des semi-conducteurs : notre société fait déjà le choix de produire plus de smartphones et moins de nourriture. Pour sortir de cette course infinie à la croissance, Commown propose une solution : l’économie de la fonctionnalité. Notre coopérative gère un bien commun constitué par une flotte d’appareils électroniques à louer, qui elle-même constitue un stock de pièces détachées pour réparer d’autres appareils ». Le partenariat Nos deux invités ont ensuite expliqué comment Fairtec, le collectif européen de téléphonie responsable, permet à Commown et Télécoop de coopérer avec d’autres acteurs européens du numérique responsable, mais aussi d’approfondir leurs relations jusqu’à proposer désormais une offre commune, nommée TéléCommown : Adrien Montagut : « Des terminaux aux logiciels libres, Fairtec permet à nos clients de trouver dans une même vitrine des solutions numériques qui leur permettent de s’affranchir des GAFAM (Google, Amazon, Facebook, Amazon, Microsoft) ». Marion Graeffly : « L’offre TéléCommown, c’est une ristourne sur l’abonnement et de Télécoop et sur l’abonnement de Commown, pour rendre nos offres plus accessibles aux clients et pour dire que l’on entre de plain pied dans l’économie coopérative, tout en assurant un meilleur respect de la vie privée de chacun ». Huit levées de fonds… et un scoop : Télécoop veut lancer sa box Enfin, nos invités sont revenus sur la levée de fonds actuelle des Licoornes, du nom de ce collectif de neuf coopératives d’intérêt collectif (Scic) qui communiquent en ce moment simultanément pour lever des fonds sur Lita.co. Le collectif inclut bien sûr Télécoop et Commown. A l’heure où nous écrivons ces lignes, les Licoornes avaient déjà levé 300.000 euros auprès 78.000 sociétaires. Une jolie performance, mais qu’il est nécessaire de prolonger et d’amplifier : la levée de fonds devait s’achever ce 30 juin, elle va se prolonger quelques temps. Marion Graeffly : « Avec cette levée de fonds, nous voulons notamment financer nos travaux exploratoires sur le lancement de notre fourniture d’accès à internet, la Box Télécoop (c’est un scoop Mediatico, ndlr !). L’objectif est de pousser la sobriété numérique : 1 Go consommé en 4G, c’est 3 fois plus d’énergie qu’en Wifi et jusqu’à 10 fois plus que via la fibre ». Adrien Montagut : « On aimerait atteindre le million d’euros dans le cadre de cette campagne. L’idée de lancer cette levée de fonds alternative, avec des entreprises qui sont dans une démarche d’intérêt collectif et de lucrativité limitée, c’est de dire qu’il faut bien sûr investir dans les entreprises. Mais alors, faisons-le dans des entreprises qui ont du sens et qui sont tournées vers l’intérêt général ». Vous pouvez revoir cette émission Ess On Air en replay, en cliquant sur la vidéo en haut de cet article. Vous pouvez aussi revoir les précédentes éditions en cliquant ci-dessous. Voir les précédents #EssOnAir #EssOnAir, le concept L’actualité vue par les acteurs de l’économie sociale et solidaire, c’est tous les quinze jours dans #EssOnAir, le nouveau talk-show de Mediatico, qui permet de voir l’actualité autrement, de porter la voix de l’ESS et de présenter l’actualité de ses acteurs. A vous de jouer Vous êtes acteur de l’ESS ? Quelles infos retiennent votre attention et pourquoi ? Qu’est-ce qui vous plaît ou vous énerve dans l’actualité ? Quelles infos positives voulez-vous partager avec nous ? Quelle est votre actualité ? Pour passer dans #EssOnAir, cliquez ici !

PORTRAIT ENGAGÉ

  • Arnaud Poissonnier, fondateur de Babyloan

    Arnaud Poissonnier, chantre de la finance du sourire, vend Babyloan à Lendahand

    Changement d’ère pour Babyloan. Fondée en 2008, pionnière du financement participatif en France, la plateforme de microfinance fondée par Arnaud Poissonnier fait désormais partie, depuis le 8 juin 2022, du groupe néerlandais Lendahand, dont le cœur d’activité est le prêt rémunéré. L’occasion pour Mediatico d’ouvrir son studio à Arnaud Poissonnier, afin de dresser, en vidéo, le portrait d’un entrepreneur social engagé et spécialiste des coups marketing en faveur de la solidarité. De la gestion de fortune à la micro-finance « Quand j’étais gamin, je voulais être prêtre », entame Arnaud Poissonnier. Déjà, le rêve d’éradiquer la pauvreté dans le monde. Né à Roubaix en 1966, son éducation et la tradition d’entraide des gens du Nord le conduisent naturellement vers les démarches de solidarité. Ses études en administration des entreprises vont toutefois l’éloigner, un temps, de ce chemin prédestiné : pendant dix ans, Arnaud Poissonnier va travailler dans l’univers de la gestion de fortune. Une école de la vie, parmi d’autres. Mais le destin le rattrape. En 2004, employé chez OBC-ABN Amro, il travaille pour l’ONG ACTED au développement d’une activité de micro-crédit, inventé par Muhammad Yunus (voir aussi son portrait). Lors d’un voyage au Tadjikistan, Arnaud Poissonnier rencontre alors une femme, que le micro-crédit avait considérablement aidée. A travers son regard, le souvenir est poignant : « On ne m’avait jamais remercié comme ça », dit-il. C’est précisément à cet instant-là qu’Arnaud Poissonnier « bascule dans la finance du sourire ». Babyloan, 50.000 familles aidées dans 30 pays Babyloan voit le jour peu de temps après, en 2008. C’est la première plateforme de « prêt solidaire », à l’heure où les termes “finance participative” ou “crowdfunding” n’avaient pas encore été inventés. Quatorze ans plus tard, Babyloan revendique 50.000 familles aidées dans 30 pays, grâce au micro-crédit. Mais la crise du Covid est passée par là et il est déjà l’heure de poursuivre l’aventure autrement. Voici donc venu pour Babyloan le temps de rejoindre Lendahand, le spécialiste néerlandais du prêt rémunéré, qui propose « d’investir dans des entrepreneurs de pays en développement et de gagner jusqu’à 7 % d’intérêts annuels ». Arnaud Poissonnier sera désormais le représentant de Lendahand en France, à la tête d’une « petite équipe française ». Implanter le marketing solidaire Dans ce portrait engagé, à la fois personnel et professionnel, Arnaud Poissonnier nous parle aussi du dérèglement climatique, de notre course effrénée à la consommation, et de son inquiétude pour l’avenir du monde qui le pousse à se définir comme collapsologue. Son inspirateur, l’astrophysicien Jacques Blamont, décédé durant le Covid, avait théorisé le « modèle de société Hollywood », qui l’a totalement convaincu. Mais Arnaud Poissonnier, c’est aussi l’homme des coups marketing au service de la solidarité. Comme avec ce record du monde de la fondue solidaire, sous les colonnes de l’ancienne Bourse de Paris. Au fond, une simple collecte de fonds pour des projets de Babyloan, à travers un évènement pour le moins original. Un coup qui a « très bien fonctionné et qui a laissé des traces incroyables », assure Arnaud Poissonnier près de six ans après cet événement (voir notre reportage en 2016 ici). Précurseur, encore et toujours Arnaud Poissonnier est également l’auteur de Adopt, un « roman solidaire ». Auto-édité fin 2020, ce thriller imaginé voilà six ans évoque… une pandémie. Prémonitoire ! Gêné par la concomitance, il a reversé une partie des recettes à la fondation Necker-Enfants Malade. L’une de ses dernières idées en date est celle d’Hacker1Village, dans sa commune de Couëtron-au-Perche (Loir-et-Cher). Quand il s’installe en 2017, il s’étonne des nombreuses maisons vides. Après la crise sanitaire, « 80 % des maisons se sont vendues en neuf mois », explique-t-il. Hélas, plus souvent à des Parisiens en quête de résidence secondaire qu’à des habitants venus pour repeupler le village. Qu’à cela ne tienne, Arnaud Poissonnier s’engage partout où il passe. Toujours prêt à donner un coup de main. En anglais, on dit “lend a hand”.

    Voir ce portrait

INFOS PARTENAIRES

  • Afrique du Sud : étude d’impact d’ampleur pour une institution de micro-finance

    C’est la plus importante institution de microfinance de développement d’Afrique du Sud qui vient de faire, pour la première fois, l’objet d’une étude d’impact majeure : la SEF (Small Enterprise Foundation), présente dans 6 régions du pays, intervient en particulier dans le Limpopo et le Cap oriental, deux des provinces les plus pauvres d’Afrique du Sud. Fondée en 1992, ses bénéficiaires sont exclusivement des femmes. La SIDI, qui appuie la SEF depuis 2017, a souhaité en 2020 évaluer l’impact de ce travail de terrain au long cours. L’étude a été accompagnée et cofinancée par le réseau de coopération internationale F3E et la Fondation Grameen Crédit Agricole, puis conduite par les cabinets Reciprocity et Alesopi Consulting représentés respectivement par Pierre Coetzer et le binôme formé par Saskia Van Crugten et Anwar Al Shami. Elle vient d’être restituée devant une centaine de personnes. « Évaluer la performance sociale et environnementale » Dominique Lesaffre, directeur général de la SIDI, a rappelé que cette étude visait aussi à « évaluer la relation entre la SIDI et la SEF autour de la performance sociale et environnementale de notre action ». L’étude a été élaborée dans « une approche mixte entre le qualitatif et le quantitatif », a pour sa part expliqué Saskia Van Crugten, du cabinet Alesopi. Cette approche permet d’assurer la complémentarité des outils d’évaluation quantitatifs et qualitatifs, afin de mieux appréhender les nuances contenues dans les données, et ainsi arriver à des conclusions solides. En Afrique du Sud, les résultats de l’étude sont positifs, a souligné Anwar Al Shami, du cabinet Alesopi, rapportant que « près de 75 % des clientes interrogées ont constaté une amélioration de leur inclusion socio-économique, de leur confiance en elles et en leur capacité à faire face aux prochaines mois, suite au financement de leurs projets apporté par la SEF. La microfinance à vocation sociale à montrer ainsi toute sa pertinence et utilité concrète, et conforte ainsi l’engagement de la SIDI en faveur de la finance solidaire. Les leçons à retenir Pour la SIDI, trois leçons sont à retenir de cette étude d’impact. D’abord, conforter sa conviction que « la microfinance permet d’améliorer le quotidien et la résilience des clients ». Ensuite, l’existence de certains effets négatifs comme les éventuels retards de paiement, qui peuvent générer des tensions au sein des groupes de clientes. L’étude a également soulevé la difficulté d’évaluer l’impact sur les inégalités de genre au sein du ménage, dans la mesure où de nombreuses femmes ne partagent pas avec leur mari, de façon systématique, leur engagement avec la SEF. Enfin, pour la SIDI, cette étude rappelle « la nécessité de standardiser la mesure d’impact au sein du secteur de la microfinance », en particulier pour éviter “I’impactwashing”. L’étude d’impact émet aussi différentes recommandations, comme, entre autres, le développement de « nouveaux canaux de paiement et d’épargne », une nouvelle méthode d’analyse des données axée sur la typologie des clientes,  ou la systématisation de la collecte de données pour que la SEF puisse analyser son impact en autonomie. Prochaine étape : la SIDI donne rendez-vous en septembre à la rencontre annuelle “Cerise+SPTF” qui réunit de nombreux investisseurs solidaires et institutions de microfinance. Ce sera l’occasion d’échanger sur les bonnes pratiques en matière de mesure d’impact dans le domaine de la finance solidaire. Crédit photo de couverture : Pierre Coetzer / Reciprocity

  • Rendez-vous cet été au Havre, pour re-découvrir la Halle aux Poissons

    Tiers-lieux dédié à l’écologie marine Après une première ouverture au public été 2021, la Halle aux Poissons poursuit sa réinvention pour devenir un nouveau lieu de vie, d’échanges et de convivialité au cœur de la ville du Havre. Chef-d’œuvre emblématique de l’architecture d’après-guerre, elle offre cinq murs et un toit pour faire vibrer l’écologie marine. Aujourd’hui, c’est un marché couvert avec un foisonnement d’activités : 6 projets en résidence sont accueillis toute la saison (friperie, tatoueur, artistes, fleuristes, céramiste…). On y trouve aussi aussi des expos, des ateliers, des conférences, une salle de projection. Tout s’organise autour d’un espace végétalisé, d’un bar, d’un restaurant, sans oublier sa magnifique terrasse en bord de quai. Du 18 Juin au 30 OctobreDu mercredi au dimancheDe midi à minuit Rue du Général Faidherbe 76600 Le Havre Evénements Expositions, Ateliers, Projection, Marchés, Concerts, DJ Sets Depuis le 18 juin et jusqu’à fin octobre 2022, la Halle aux Poissons propose des rendez-vous culturels et festifs (marchés, soirées, projections, expositions, conférences autour de la mer) et invite les havrais·es à rencontrer les résident·es qui proposent des solutions pour les défis collectifs du futur à inventer. Histoire du lieu Lieu de mémoire, La Halle aux Poissons participe au récit de la reconstruction du Havre. Ancienne criée pour les pêcheurs, trop longtemps délaissée, elle occupe une position stratégique permanente à l’interface entre la ville et le port, sur un site historique. Située en face du bassin du Roi, à l’endroit même où Le Havre a commencé son développement portuaire et urbain, elle trace aux yeux des havrais ce passé d’une ville nourrie par la mer et tournée vers l’avenir.             En 2018, l’appel à projet Réinventer Le Havre donne l’occasion de repenser son usage, d’imaginer de nouvelles fonctions, d’inventer son inscription dau Havre. A la frontière du quartier Saint-François, dont la typicité complète la richesse architecturale du Havre version Perret en son cœur, les lauréats* y voient l’occasion de participer à la valorisation du patrimoine architectural havrais, reconnu tant à l’échelle locale qu’internationale. *Equipe lauréate de l’appel à projet Réinventer le Havre pour la Halle aux Poissons : Encore Heureux Architectes, Atelier DD, Les Apaches et Enofi

Mediatico

  • Qui sommes-nous ?
  • Notre équipe
  • Mediatico recrute
  • Charte de déontologie
  • Notre empreinte écologique 

Contenus premiums

  • La Newsletter
  • Editos
  • Tribunes
  • Partenaires
  • “IMPACT”, l’événement

Nos dossiers

  • Présidentielle 2022
  • Élections Régionales 2021
  • Commerce équitable
  • Confinés & Solidaires
  • Les Grands Voisins
  • Talents for the Planet

Mentions légales

  • Mentions légales
  • Plan du site
  • Flux RSS
  • Contact

Copyright © 2014-2022 - Mediatico.