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ACCUEIL » INITIATIVES » Positive Workplace, un label RSE à prix libre pour les plus petites entreprises

Positive Workplace, un label RSE à prix libre pour les plus petites entreprises

Par Sohane Nguyen-duc 25/09/2020

Belle évolution pour Positive Workplace, le nouveau label RSE français, que Mediatico vous a fait découvrir dès sa création en 2019. A ce jour, il a déjà labellisé 45 entreprises, toutes accompagnées dans le cadre de leur transition sociale, sociétale et environnementale, au terme d’une démarche originale : loin de se contenter d’un formulaire de 200 questions pour les auditer, Positive Workplace les aide à progresser dans leur stratégie de développement durable et à embarquer avec elles toutes leurs parties prenantes. Charles-Henri Margnat, le fondateur du label que nous avons retrouvé cette année sur le salon Produrable, s’en explique : « Une stratégie RSE ne peut pas être faite en autonomie, nous interrogeons donc systématiquement les parties prenantes : salariés, clients et fournisseurs ».

Positive Workplace s’adresse aussi bien aux PME qu’aux ETI, aux filiales de grands groupes comme aux startups. Pour permettre à toutes de progresser dans leur stratégie RSE, le label a décidé de proposer une tarification à prix libre pour les organisations qui réalisent un chiffre d’affaires inférieur à 150.000 € : « Notre souhait est de rendre la RSE accessible à toutes les entreprises, quel que soit leur budget. Les startups peuvent donc payer ce qu’elles veulent », poursuit Charles-Henri Margnat. Une démarche commercialement courageuse, qui témoigne d’un engagement certain.

Bientôt un palmarès des entreprises les plus responsables

Pour 2021, le label nourrit de fortes ambitions. Il entend notamment atteindre 150 entreprises labellisées, mais aussi dévoiler le premier palmarès des entreprises les plus responsables. A plus long terme, il compte bien accompagner toutes ses entreprises labellisées vers la neutralité carbone avant 2030… soit 20 ans avec les objectifs de l’Accord de Paris sur le Climat !

« L’objectif du label est de devenir une entreprise à mission et de rejoindre la communauté des entreprises à mission », nous annonce par ailleurs Charles-Henri Margnat. Introduite dans le droit français par la loi Pacte du 22 mai 2019, la qualité d’entreprise à mission correspond elle-même à une labellisation qui permet d’afficher et de garantir le respect d’engagements altruistes. Une entreprise à mission se donne ainsi une finalité d’ordre social et/ou environnemental, supérieure à son but lucratif.

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PORTRAIT ENGAGÉ

  • Arnaud Poissonnier, fondateur de Babyloan

    Arnaud Poissonnier, chantre de la finance du sourire, vend Babyloan à Lendahand

    Changement d’ère pour Babyloan. Fondée en 2008, pionnière du financement participatif en France, la plateforme de microfinance fondée par Arnaud Poissonnier fait désormais partie, depuis le 8 juin 2022, du groupe néerlandais Lendahand, dont le cœur d’activité est le prêt rémunéré. L’occasion pour Mediatico d’ouvrir son studio à Arnaud Poissonnier, afin de dresser, en vidéo, le portrait d’un entrepreneur social engagé et spécialiste des coups marketing en faveur de la solidarité. De la gestion de fortune à la micro-finance « Quand j’étais gamin, je voulais être prêtre », entame Arnaud Poissonnier. Déjà, le rêve d’éradiquer la pauvreté dans le monde. Né à Roubaix en 1966, son éducation et la tradition d’entraide des gens du Nord le conduisent naturellement vers les démarches de solidarité. Ses études en administration des entreprises vont toutefois l’éloigner, un temps, de ce chemin prédestiné : pendant dix ans, Arnaud Poissonnier va travailler dans l’univers de la gestion de fortune. Une école de la vie, parmi d’autres. Mais le destin le rattrape. En 2004, employé chez OBC-ABN Amro, il travaille pour l’ONG ACTED au développement d’une activité de micro-crédit, inventé par Muhammad Yunus (voir aussi son portrait). Lors d’un voyage au Tadjikistan, Arnaud Poissonnier rencontre alors une femme, que le micro-crédit avait considérablement aidée. A travers son regard, le souvenir est poignant : « On ne m’avait jamais remercié comme ça », dit-il. C’est précisément à cet instant-là qu’Arnaud Poissonnier « bascule dans la finance du sourire ». Babyloan, 50.000 familles aidées dans 30 pays Babyloan voit le jour peu de temps après, en 2008. C’est la première plateforme de « prêt solidaire », à l’heure où les termes “finance participative” ou “crowdfunding” n’avaient pas encore été inventés. Quatorze ans plus tard, Babyloan revendique 50.000 familles aidées dans 30 pays, grâce au micro-crédit. Mais la crise du Covid est passée par là et il est déjà l’heure de poursuivre l’aventure autrement. Voici donc venu pour Babyloan le temps de rejoindre Lendahand, le spécialiste néerlandais du prêt rémunéré, qui propose « d’investir dans des entrepreneurs de pays en développement et de gagner jusqu’à 7 % d’intérêts annuels ». Arnaud Poissonnier sera désormais le représentant de Lendahand en France, à la tête d’une « petite équipe française ». Implanter le marketing solidaire Dans ce portrait engagé, à la fois personnel et professionnel, Arnaud Poissonnier nous parle aussi du dérèglement climatique, de notre course effrénée à la consommation, et de son inquiétude pour l’avenir du monde qui le pousse à se définir comme collapsologue. Son inspirateur, l’astrophysicien Jacques Blamont, décédé durant le Covid, avait théorisé le « modèle de société Hollywood », qui l’a totalement convaincu. Mais Arnaud Poissonnier, c’est aussi l’homme des coups marketing au service de la solidarité. Comme avec ce record du monde de la fondue solidaire, sous les colonnes de l’ancienne Bourse de Paris. Au fond, une simple collecte de fonds pour des projets de Babyloan, à travers un évènement pour le moins original. Un coup qui a « très bien fonctionné et qui a laissé des traces incroyables », assure Arnaud Poissonnier près de six ans après cet événement (voir notre reportage en 2016 ici). Précurseur, encore et toujours Arnaud Poissonnier est également l’auteur de Adopt, un « roman solidaire ». Auto-édité fin 2020, ce thriller imaginé voilà six ans évoque… une pandémie. Prémonitoire ! Gêné par la concomitance, il a reversé une partie des recettes à la fondation Necker-Enfants Malade. L’une de ses dernières idées en date est celle d’Hacker1Village, dans sa commune de Couëtron-au-Perche (Loir-et-Cher). Quand il s’installe en 2017, il s’étonne des nombreuses maisons vides. Après la crise sanitaire, « 80 % des maisons se sont vendues en neuf mois », explique-t-il. Hélas, plus souvent à des Parisiens en quête de résidence secondaire qu’à des habitants venus pour repeupler le village. Qu’à cela ne tienne, Arnaud Poissonnier s’engage partout où il passe. Toujours prêt à donner un coup de main. En anglais, on dit “lend a hand”.

    Voir ce portrait

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