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ACCUEIL » REPORTAGES » Avec Ethi’kdo, la hotte du Père Noël devient éthique, écologique et solidaire

Avec Ethi’kdo, la hotte du Père Noël devient éthique, écologique et solidaire

Par Mediatico 09/12/2019
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Connaissez-vous la première carte cadeau à impact positif ? Lancée à l’automne 2019, Ethi’kdo réunit dans son catalogue les produits et les services des acteurs de la consommation responsable et de l’économie sociale et solidaire.

Contrairement aux autres émetteurs de cartes et de chèques cadeaux multi-enseignes, qui sont toutes à but lucratif et sans objectif social et environnemental, la carte Ethi’kdo est donc éthique, écologique, solidaire et pilotée par une société coopérative d’intérêt collectif ! Une première en France, dans « un marché français estimé à près de 2 milliards d’euros qui progresse de près de 8% par an » souligne son fondateur Séverin Prats, dans cette interview vidéo accordée à Mediatico.

Vêtements, jouets, nourriture, cosmétiques, électronique… le réseau Ethi’kdo couvre déjà une large gamme de produits éthiques et solidaires. Parmi les enseignes engagées, vous retrouverez les plus connues telles que la Croix-Rouge, Artisans du Monde ou Emmaüs, mais aussi d’autres entreprises et associations plus locales.

Comme par exemple l’un des acteurs importants de la mode responsable, la marque de jeans 1083, qui a su relocaliser leur production auprès des consommateurs. Ou encore l’association Rejoué, qui promeut l’économie circulaire en proposant des jouets de seconde main, reconditionnés par des personnes éloignées de l’emploi et en réinsertion professionnelle.

Ethi’kdo c’est un « moyen d’orienter la consommation vers les acteurs qui défendent les valeurs de l’économie sociale et solidaire », plaide Séverin Prats, soulignant notre pouvoir de choisir un modèle de société au travers de notre consommation quotidienne. Avec cette nouvelle carte cadeau, les particuliers et les comités d’entreprise ont désormais accès à une consommation responsable.

Pour l’avenir, Ethi’kdo entend développer rapidement son catalogue vers les acteurs du réemploi, le zéro-déchet et le commerce équitable, mais aussi « étendre le maillage de boutiques » et mettre en place la vente directe de cartes cadeau en magasin.

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ESS ON AIR : LE REPLAY

  • Jérôme Saddier : « Mon sentiment se partage entre la colère et la consternation »

    Six jours d’émeutes, d’ultra violences et de destructions des biens communs qui soulagent les familles les plus en difficulté ! L’économie sociale et solidaire, qui s’affirme comme une force motrice capable de trouver des solutions sociales aux défis de nos concitoyens, peut-elle « recoudre » la République ? « Face aux événements d’aujourd’hui, mon sentiment se partage entre la colère et la consternation » C’est la question que nous avons posée à Jérôme Saddier, président d’ESS France, dans cette émission « Ess On Air » de Mediatico, qui balaie l’actualité sous le prisme de l’économie sociale et solidaire. Sa réponse : « Colère et consternation », dit-il. Face aux vandales, bien sûr. Et face à la surdité d’un gouvernement devant les maux croissants de notre société. Et de rappeler ce projet de « République de l’ESS », porté par ESS France lors de la dernière campagne présidentielle, qu’il serait si bon de porter collectivement aujourd’hui. « Aujourd’hui, nous avons besoin d’un grand plan pour la République. Et je pense que nous avons besoin d’un grand plan pour l’éducation populaire dans ce pays » Au lieu de cela, le débat a viré à l’institutionnel interne durant 4 mois. Quelle perte de temps, résume Jérôme Saddier. Faut-il revoir la Loi Hamon de 2014, qui définit l’économie sociale et solidaire ? La revoir non, mais l’évaluer, oui. Faut-il en revoir la définition dans son article 1 ? Le Conseil Supérieur de l’Économie Sociale et Solidaire (CSESS), présidé par la Secrétaire d’État à l’ESS, Marlène Schiappa, a tranché voilà dix jours. La réponse « à l’unanimité moins une voix », dit Jérôme Saddier, est clairement non : « La définition actuelle est admise par toutes les familles de l’ESS ». « Pour le Conseil supérieur de l’ESS, il n’y a pas de sujet sur la reconnaissance de l’ESS dans la loi de 2014. Mais il y a un problème d’argent, de volonté, de structuration de l’État, de rapport aux collectivités. Il nous faut une loi de programmation budgétaire complémentaire de la loi ESS ». Quant à la question de la représentation des entrepreneurs sociaux au sein d’ESS France, exigée par la loi, elle reste entière. Le Mouvement Impact France (MIF), qui s’est élargi au-delà de son cercle historique voilà trois ans, a souhaité s’élargir un peu plus cette année au monde des entreprises à impact hors-ESS, à la faveur de la candidature de Pascal Demurger et de Julia Faure à la co-présidence du MIF. Dès lors, « la représentation des sociétés commerciales de l’ESS reste entière et pourrait être réglée dans les mois qui viennent à la faveur d’une modification des statuts d’ESS France », indique Jérôme Saddier à Mediatico. « La plupart des entrepreneurs sociaux ne sont pas ailleurs que dans les CRESS. Pour la plupart, ils ne sont pas au MIF. Parlons des chiffres : le MIF c’est 900 entreprises, moi j’en représente 220.000 ». Voilà qui bouclerait la boucle d’un riche mandat, alors qu’approche la fin de la présidence de Jérôme Saddier à la tête d’ESS France. Il nous dit pourquoi il ne se représentera pas. Il brosse rapidement le profil type d’un ou d’une successeuse éventuelle. Et il répond à une question très directe, à quelques semaines d’un remaniement gouvernemental pressenti dans la classe politique : « Si Emmanuel Macron vous appelle pour prendre le Secrétariat d’État à l’ESS, vous irez » ?

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