À la sortie des centres d’hébergement parisiens, 50% des personnes réfugiées se trouvent sans solution d’hébergement. Une situation qui non seulement crée de l’insécurité, mais qui est source d’exclusion. Car au lieu de s’intégrer et de contribuer à la société, « la personne s’épuise dans une recherche de logement et elle se trouve dans une instabilité chronique, ce qui vient compliquer le travail de suivi des associations, limitant les rencontres avec des personnes françaises », témoigne Simon Guibert.
Fondateur de l’association Caracol en 2017, Simon Guibert souligne parallèlement que l’INSEE recense 400.000 logements vacants en Île-de-France. C’est en confrontant ces deux réalités qu’il a décidé de transformer des . . .