• EDITOS
  • L’ACTU
  • PORTRAITS
  • INITIATIVES
  • Ess On Air
  • La Newsletter
    • Mot de passe perdu ou première connexion ?

Activer/désactiver barre latérale & navigation
  • EDITOS
  • L’ACTU
  • PORTRAITS
  • INITIATIVES
  • Ess On Air
  • La Newsletter
    • Mot de passe perdu ou première connexion ?

Mediatico

ACCUEIL » INFOS PARTENAIRES » CRESS IDF Semaine des achats socialement et écologiquement responsables : faites connaître votre structure !

Semaine des achats socialement et écologiquement responsables : faites connaître votre structure !

Par CRESS PACA 18/10/2021

Lancée par ESS France avec les Chambres régionales de l’Économie Sociale et Solidaire dans le cadre du Mois de l’ESS, la première Semaine des ASER (Achats Socialement et Écologiquement Responsables) aura lieu du 15 au 19 novembre prochain dans toute la France.

Cette semaine a pour but de favoriser les rencontres et l’interconnaissance entre les entrepreneurs de l’Économie Sociale et Solidaire et les publics cibles (acheteurs publics et/ou privés, prescripteurs, donneurs d’ordre, etc.) autour de thématiques d’actualité ou de stratégies d’achats : RSE, clauses sociales ou environnementales, innovation sociale, sourcing, groupement d’entreprises, etc. « On est là pour faire le lien entre l’offre et la demande », explique Cédric Dupas, chargé de développement d’affaires à la CRESS Ile-de-France. « L’objectif, pour les entreprises de l’ESS, est de se faire connaître auprès des acheteurs publics, et pour les acheteurs, de mieux connaître l’offre ESS, afin qu’ils puissent l’intégrer dans leur stratégie d’achats responsables. »

Dans ce cadre, la CRESS Ile-de-France organise une journée des Achats Socialement et Écologiquement Responsable le 18 novembre en visioconférence, en partenariat avec les acteurs du bassin d’emploi de Marne-la-Vallée et la MACS (Mission d’Appui au développement des Clauses Sociales) portée par le Groupement d’Intérêt Public Maximilien – le portail des marchés publics franciliens.

L’événement articulera des ateliers thématiques et des sessions de « speed meeting » de 20 minutes. Au programme : Comment répondre à un marché public ? Présentation des clauses environnementales dans les marchés publics, présentation de la MAPCE (Mission Achats Publics Circulaires et Environnementaux) et de la MACS (Mission d’Appui au développement des Clauses Sociales); ou encore des ateliers sur l’alimentation durable et l’économie circulaire.

Le parrain de cette semaine des ASER est Pierre Pelouzet, président de l’Observatoire des Achats responsables (ObsAR) et médiateur national des entreprises. La cérémonie d’ouverture nationale est prévue le 15 novembre à 14h30 et sera accessible en visioconférence.

Si vous organisez ou souhaitez organiser un événement qui rentre dans le cadre des ASER, vous pouvez l’inscrire sur lemois-ess.org et contacter Cédric Dupas à Cedric.Dupas@cressidf.org pour apparaître dans le programme de la semaine des ASER en Île-de-France.

Partagez cet article

Edito

  • Bon anniversaire à la Loi Pacte ! Et à la Loi ESS ?

    Le Mouvement Impact France aurait pu célébrer le 4e anniversaire de la Loi Pacte la semaine dernière, mais ses membres étaient occupés à bien d’autres festivités : après plusieurs semaines de débats enflammés sur les réseaux sociaux (lire sur Mediatico), Pascal Demurger et Julia Faure ont en effet été élus haut-la-main, ce 24 mai, à la co-présidence du MIF, par 86% des adhérents. Un « plébiscite », assure le Mouvement (lire le communiqué). Sachant qu’une liste unique se présentait, le score m’apparaît toutefois un peu plus mitigé : 14% des adhérents ont voté contre – et pourraient donc quitter le mouvement – refusant le projet politique de la nouvelle gouvernance, qui entend élargir le MIF à des entreprises particulièrement engagées… dans la droite ligne des opportunités ouvertes par la Loi Pacte de 2019.  Certes, le réseau de conseil et d’audit KPMG ne fera pas partie du MIF : violemment critiqué sur les réseaux sociaux pour favoriser l’optimisation fiscale des entreprises, donc à rebours d’un engagement vertueux des entreprises pour leurs parties prenantes et leur écosystème, KPMG a en effet renoncé in extremis à intégrer le conseil d’administration du MIF. Mais d’autres entreprises plus classiques, dites « à mission », labellisées B-Corp, ou considérées comme « exemplaires » en matière de RSE, deviennent pour leur part administratrices du Mouvement Impact France : c’est le cas de la SNCF ou de Doctolib. Merci la Loi Pacte… même si cela dérange certains ! Promulguée le 22 mai 2019, voilà 4 ans tout juste, la loi Pacte voulait instaurer un Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE). À coup de multiples dispositions fiscales d’une part, mais aussi en repensant le partage de la valeur avec les salariés, les écarts de salaires, la gouvernance des entreprises et leur place dans la société, allant jusqu’à leur proposer d’instaurer une « raison d’être » voire une « mission » sociétale dans leurs statuts. Quatre ans plus tard, à quoi la loi Pacte a-t-elle servi ? Ses 221 articles, fort disparates, la rendent bien difficile à évaluer. France Stratégie la juge trop « récente » pour en dresser le bilan (lire son rapport), estime les avancées bien timides sur le partage de la valeur et considère que le statut de société à mission reste encore « marginal » dans l’économie française. Cette loi, que Mediatico a toujours jugé progressiste pour le monde de l’entreprise, est-elle pour autant une mauvaise loi ? Assurément non. Le Mouvement Impact France peut-il s’en revendiquer, même à demi-mots ? C’est évidemment son droit souverain, même si cela irrite une partie de l’économie sociale et solidaire. Faut-il pour autant réviser la loi Pacte ? Personne ne demande rien de tel. Alors pourquoi faudrait-il revoir la Loi ESS de 2014, dite loi Hamon ? D’un anniversaire à l’autre, celle-ci fêtera l’an prochain ses 10 ans. Certes, le temps de l’évaluation est un peu plus long, mais bien trop court encore aux yeux d’ESS France qui aimerait bien la voir entièrement appliquée avant de vouloir la réviser. Or, plusieurs voix de l’entrepreneuriat social réclament non seulement son évaluation, mais aussi, justement, sa révision. De l’ancien Haut-commissaire Christophe Itier à l’ex-président du Mouves Jonathan Jérémiasz (revoir son interview sur Mediatico), ils demandent notamment la réécriture du long article 1, qui porte sur la définition de l’ESS et assimile un peu trop vite l’entrepreneuriat social aux « sociétés commerciales de l’ESS » agréées ESUS (lire l’article 1). Qu’en pense Marlène Schiappa ? Au vu des débats enflammés des dernières semaines et de ceux qui pourraient encore advenir, la Secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire et à la Vie associative organisera jeudi une table ronde sur l’avenir de l’ESS. Mediatico y sera, avant de recevoir la ministre, dans notre studio, pour une interview sans détours. Nous l’interrogerons sur l’opportunité politique de débaptiser la Loi Hamon pour en faire une Loi Schiappa ! Non sans lui rappeler que de belles lois du secteur de l’économie sociale et solidaire parviennent à traverser le temps, voire les siècles. Comme celle qui protège nos libertés associatives depuis 1901. Recevez chaque semaine l’édito de Mediatico par e-mail

La newsletter

Inscrivez-vous à la newsletter !
Chaque semaine, une thématique, un édito, des vidéos et des infos qui redonnent du sens à l'économie.



Partagez cet article

Plus dans la rubrique "INFOS PARTENAIRES"

  • Malaise démocratique : comment sortir de la crise ?

  • Prendre en compte la parole des chercheurs d’emploi : une exigence démocratique !

  • Retraites : II faut renforcer les mesures pour l’emploi des seniors

PORTRAIT ENGAGÉ

  • Pascal Demurger, Maif : « Notre mission nous incite à privilégier nos sociétaires avant l’entreprise »

    Pascal Demurger est candidat avec Julia Faure à la co-présidence du Mouvement Impact France, qui tiendra son assemblée générale le 24 mai prochain. Pour l’occasion, Mediatico republie le portrait réalisé avec Pascal Demurger en 2020 sur son engagement d’entrepreneur à mission. A l’heure de la crise, et s’il était l’heure d’inventer un nouveau modèle d’entreprise tourné vers le « bien commun » ? Et si l’on réconciliait l’éthique et la performance de l’entreprise, pour gagner en attractivité et conquérir de nouveaux marchés ? C’est ce que font certains dirigeants “pionniers”, qui ont décidé d’inscrire dans leurs statuts une « mission » supérieure à celle de leur simple rentabilité. Et c’est ce qu’a fait la Maif. La mutuelle d’assurance connue pour son slogan “d’assureur militant”, a pour fonction première de protéger ses sociétaires, comme toute mutuelle. La Maif est donc devenue une entreprise à mission. Elle réalise près de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais elle n’a pas d’actionnaires. Elle a centré sa raison d’être sur « l’attention sincère portée à l’autre et au monde». Et pour Pascal Demurger, son directeur général, conduire une entreprise à mission est « source d’un alignement personnel entre l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité », nous révèle-t-il dans cette longue interview. Bienvenue dans “Entreprises en Mission”. Le podcast de Prophil et Mediatico qui interroge l’engagement des entreprises et la sincérité de leurs dirigeants. [article initialement publié le 30/11/2020 sur Mediatico]

    Voir ce portrait

ESS ON AIR : LE REPLAY

  • Marlène Schiappa : « Je n’ai pas vocation à réconcilier seule l’ESS »

    L’heure du premier bilan de Marlène Schiappa a sonné. Presque un an après sa nomination comme Secrétaire d’État en charge de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative, elle était l’invitée de Mediatico, ce jeudi 1er juin, pour une interview sans tabou dans notre studio vidéo. De ses photos à la Une du magazine Playboy jusqu’à l’affaire du Fonds Marianne, dont elle se défend de toute accusation, de la résolution internationale sur l’ESS adoptée à l’ONU jusqu’à l’évaluation de la loi ESS de 2014, Marlène Schiappa nous dit sa vision, ses convictions et sa fierté de représenter cette économie engagée, dans laquelle les femmes et les hommes se battent pour relever les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Elle revient en longueur sur son discours aux Nations Unies, racontant l’alliance formée entre la France, l’Espagne, le Sénégal et d’autres pays partenaires pour faire reconnaître la contribution de l’économie sociale et solidaire à la réalisation des Objectifs du développement durable de l’ONU.  Et la ministre d’expliquer que, dans de nombreux pays, la création d’une entreprise qui ne cherche pas le profit avant tout semble particulièrement saugrenue. Il en est ainsi par exemple des Etats-Unis, où elle avait songé à créer l’an dernier une entreprise non profit spécialisée dans la mesure d’impact de l’égalité femmes-hommes en entreprise. Elle avait eu bien du mal à convaincre les investisseurs…  Marlène Schiappa s’attarde aussi longuement sur l’enjeu de l’évaluation de la Loi ESS de 2014. Une évaluation qui lui a été demandée par les acteurs de l’ESS à son arrivée au ministère, assure-t-elle, voilà déjà un an. Elle a choisi de confier cette évaluation au Conseil Supérieur de l’ESS, dont le rapport lui permettra bientôt de se forger une conviction. Car, assure-t-elle à Mediatico, elle n’aurait encore rien décidé quant à l’aménagement, ou pas, entièrement ou partiellement, de la loi cadre que Benoît Hamon a portée et fait voter voilà presque dix ans. Quant aux vives dissensions apparues ces dernières semaines dans la grande famille de l’économie sociale et solidaire, issues en partie de la volonté des entrepreneurs sociaux de voir réécrit l’article 1 de la loi ESS de 2014 qui ne défend pas assez bien leurs valeurs, Marlène Schiappa affirme que son rôle est de discuter avec tous les acteurs, mais qu’elle n’a pas vocation à réconcilier seule les acteurs de l’ESS car ceux-ci tiennent à leur indépendance. En d’autres termes, elle fera sa part du travail en vue d’une reprise des discussions, mais elle ne sera pas en première ligne car les acteurs de l’ESS doivent s’efforcer de trouver par eux-mêmes les voies de la réconciliation. Nous n’avons guère eu le temps d’évoquer le Trophée des Femmes en ESS, ni l’appel à projets de 1,6 million d’euros pour développer les Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE), qui compte 16 lauréats qui recevront 100.000 euros chacun… et qui font bien partie du bilan de l’action de Marlène Schiappa dans le cadre de son Secrétariat d’État.  Pas un mot non plus, hélas, sur son coup de foudre pour Mathias Savignac, président de la MGEN, une mutuelle majeure du paysage de l’ESS, qui interroge sur de possibles conflits d’intérêt. Mais elle aurait répondu que ses attributions relatives au secteur mutualiste ont été reprises depuis par Elisabeth Borne. Enfin, nous aurions pu parler politique, de ses relations avec Emmanuel Macron, avec Elisabeth Borne… et du prochain remaniement ministériel qui pourrait intervenir, selon nous, dans le courant de l’été. Ou encore de son père Jean-Marc Schiappa, militant trotskiste lambertiste soutien de LFI, qui a très vivement reproché à sa fille son engagement au sein d’En Marche…  Si Marlène Schiappa est encore en poste en septembre, ces questions restées sans réponse mériteront bien une nouvelle interview !

Newsletter

Inscrivez-vous à la newsletter !
Chaque semaine, une thématique, un édito, des vidéos et des infos qui redonnent du sens à l'économie.



Mediatico

  • Qui sommes-nous ?
  • Notre équipe
  • Mediatico recrute
  • Valeurs et déontologie
  • Nos offres média
  • Faire un don

Nos Formats

  • Editos
  • L’Actu
  • Portraits
  • Initiatives
  • Reportages
  • L’émission « ESS On Air »

Nos dossiers

  • Les Grands Voisins
  • Présidentielle 2022
  • Élections Régionales 2021
  • Confinés & Solidaires
  • Talents for the Planet
  • Les infos Partenaires

Et aussi…

  • Mentions légales
  • Plan du site
  • Flux RSS
  • Contact

Copyright © 2013-2023 - Mediatico.