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ACCUEIL » L'ACTU » Mediatico partenaire du Grand prix de la marque engagée 2022 : les candidatures sont ouvertes !

Mediatico partenaire du Grand prix de la marque engagée 2022 : les candidatures sont ouvertes !

Par Mediatico 06/04/2022

Valoriser la stratégie RSE des entreprises sans verser dans le greenwashing, c’est l’objectif que se sont fixées Cécile Colonna D’Istria et Sandrine Raffin. Respectivement fondatrices du salon Produrable et de la LinkUp Factory, les deux femmes ont décidé ensemble d’organiser le Grand prix de la marque engagée, dont Mediatico sera cette année grand partenaire et membre du jury. La cinquième édition du prix est d’ores et déjà lancée : les candidatures doivent être déposée avant le  13 mai 2022. L’annonce des lauréats aura lieu le 13 septembre 2022, lors du prochain salon Produrable au Palais des Congrès de Paris. 

Le Grand prix de la marque engagée valorise les modèles économiques qui traduisent l’engagement des marques pour la RSE, expliquent les créatrices deux du prix. Mais de quelles marques parle-ton ? Produits, services, entreprises, ONGs… La vision du Grand prix de la marque engagée est très large et répond à une conviction : « Les marques doivent être récompensées si elles parviennent à transcrire les engagements sociétaux », estime Cécile Colonna D’Istria. Pour la dirigeante de Produrable, « être une marque engagée, c’est avant tout parvenir à tisser un contrat de confiance entre une structure et ses collaborateurs, mais aussi entre la marque et ses consommateurs ». Dans la sorte, le collaborateur est fier de son travail et le consommateur a pleine confiance dans la marque.

Candidatez avant le 13 mai 2022

Le Grand prix 2022 décernera notamment un prix de la Personnalité de l’année, un prix des Villes et territoires, un prix des ONGs, un prix des Start-ups, un prix des Entreprises à mission… Inutile d’être un mastodonte pour tenter sa chance : « les petites structures ont toutes leurs chances de gagner un prix ». Pour se prémunir des tentatives de greenwashing, le dossier de candidature est exigeant, rappelle Sandrine Raffin : « Il faut expliquer sa démarche RSE, dire dans le détail comment sa marque est engagée, c’est un dossier qui demande du temps ».

Le jury – dont Mediatico fait partie – sera présidé par Pascal Demurger, directeur général du groupe MAIF. Ce jury décernera une note sur 100 à tous les dossiers de candidature, puis sélectionnera les trois meilleurs par catégorie, parmi lesquels sera désigné le grand vainqueur récompensé au prochain salon Produrable. Enfin, un prix spécial Coup de Cœur des Étudiants sera également attribué par un jury étudiant.

Alors, prêt à postuler ?

Le Grand prix de la marque engagée en pratique :

Postulez avant le 13/05/2022, sur les formulaires disponibles sur le site du concours.
Coût : 600 € (-10% avec le code de réduction à demander par mail à Mediatico)

Les catégories :

  • Grand prix de la marque engagée catégories produits
  • Grand prix de la marque engagée catégories services 
  • Grand prix de la marque engagée catégorie startup
  • Grand prix de la marque engagée avec une ONG 
  • Grand prix du territoire, de la ville engagée
  • Grand Prix catégorie Personnalité de l’année.
  • Grand Prix de la marque à mission réservé aux entreprises à mission et décerné par la Communauté des Entreprises à Mission.

Les critères de sélection :

  • La pertinence de l’action
  • Le caractère fédérateur de l’action
  • L’originalité de la démarche, son caractère innovant
  • La création de valeur
  • La reproductibilité et la pérennisation de la démarche
  • La méthodologie
  • Le système d’évaluation de la démarche
  • La valorisation des actions
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Edito

  • Bon anniversaire à la Loi Pacte ! Et à la Loi ESS ?

    Le Mouvement Impact France aurait pu célébrer le 4e anniversaire de la Loi Pacte la semaine dernière, mais ses membres étaient occupés à bien d’autres festivités : après plusieurs semaines de débats enflammés sur les réseaux sociaux (lire sur Mediatico), Pascal Demurger et Julia Faure ont en effet été élus haut-la-main, ce 24 mai, à la co-présidence du MIF, par 86% des adhérents. Un « plébiscite », assure le Mouvement (lire le communiqué). Sachant qu’une liste unique se présentait, le score m’apparaît toutefois un peu plus mitigé : 14% des adhérents ont voté contre – et pourraient donc quitter le mouvement – refusant le projet politique de la nouvelle gouvernance, qui entend élargir le MIF à des entreprises particulièrement engagées… dans la droite ligne des opportunités ouvertes par la Loi Pacte de 2019.  Certes, le réseau de conseil et d’audit KPMG ne fera pas partie du MIF : violemment critiqué sur les réseaux sociaux pour favoriser l’optimisation fiscale des entreprises, donc à rebours d’un engagement vertueux des entreprises pour leurs parties prenantes et leur écosystème, KPMG a en effet renoncé in extremis à intégrer le conseil d’administration du MIF. Mais d’autres entreprises plus classiques, dites « à mission », labellisées B-Corp, ou considérées comme « exemplaires » en matière de RSE, deviennent pour leur part administratrices du Mouvement Impact France : c’est le cas de la SNCF ou de Doctolib. Merci la Loi Pacte… même si cela dérange certains ! Promulguée le 22 mai 2019, voilà 4 ans tout juste, la loi Pacte voulait instaurer un Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE). À coup de multiples dispositions fiscales d’une part, mais aussi en repensant le partage de la valeur avec les salariés, les écarts de salaires, la gouvernance des entreprises et leur place dans la société, allant jusqu’à leur proposer d’instaurer une « raison d’être » voire une « mission » sociétale dans leurs statuts. Quatre ans plus tard, à quoi la loi Pacte a-t-elle servi ? Ses 221 articles, fort disparates, la rendent bien difficile à évaluer. France Stratégie la juge trop « récente » pour en dresser le bilan (lire son rapport), estime les avancées bien timides sur le partage de la valeur et considère que le statut de société à mission reste encore « marginal » dans l’économie française. Cette loi, que Mediatico a toujours jugé progressiste pour le monde de l’entreprise, est-elle pour autant une mauvaise loi ? Assurément non. Le Mouvement Impact France peut-il s’en revendiquer, même à demi-mots ? C’est évidemment son droit souverain, même si cela irrite une partie de l’économie sociale et solidaire. Faut-il pour autant réviser la loi Pacte ? Personne ne demande rien de tel. Alors pourquoi faudrait-il revoir la Loi ESS de 2014, dite loi Hamon ? D’un anniversaire à l’autre, celle-ci fêtera l’an prochain ses 10 ans. Certes, le temps de l’évaluation est un peu plus long, mais bien trop court encore aux yeux d’ESS France qui aimerait bien la voir entièrement appliquée avant de vouloir la réviser. Or, plusieurs voix de l’entrepreneuriat social réclament non seulement son évaluation, mais aussi, justement, sa révision. De l’ancien Haut-commissaire Christophe Itier à l’ex-président du Mouves Jonathan Jérémiasz (revoir son interview sur Mediatico), ils demandent notamment la réécriture du long article 1, qui porte sur la définition de l’ESS et assimile un peu trop vite l’entrepreneuriat social aux « sociétés commerciales de l’ESS » agréées ESUS (lire l’article 1). Qu’en pense Marlène Schiappa ? Au vu des débats enflammés des dernières semaines et de ceux qui pourraient encore advenir, la Secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire et à la Vie associative organisera jeudi une table ronde sur l’avenir de l’ESS. Mediatico y sera, avant de recevoir la ministre, dans notre studio, pour une interview sans détours. Nous l’interrogerons sur l’opportunité politique de débaptiser la Loi Hamon pour en faire une Loi Schiappa ! Non sans lui rappeler que de belles lois du secteur de l’économie sociale et solidaire parviennent à traverser le temps, voire les siècles. Comme celle qui protège nos libertés associatives depuis 1901. Recevez chaque semaine l’édito de Mediatico par e-mail

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    L’heure du premier bilan de Marlène Schiappa a sonné. Presque un an après sa nomination comme Secrétaire d’État en charge de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative, elle était l’invitée de Mediatico, ce jeudi 1er juin, pour une interview sans tabou dans notre studio vidéo. De ses photos à la Une du magazine Playboy jusqu’à l’affaire du Fonds Marianne, dont elle se défend de toute accusation, de la résolution internationale sur l’ESS adoptée à l’ONU jusqu’à l’évaluation de la loi ESS de 2014, Marlène Schiappa nous dit sa vision, ses convictions et sa fierté de représenter cette économie engagée, dans laquelle les femmes et les hommes se battent pour relever les défis sociaux et environnementaux de notre époque. Elle revient en longueur sur son discours aux Nations Unies, racontant l’alliance formée entre la France, l’Espagne, le Sénégal et d’autres pays partenaires pour faire reconnaître la contribution de l’économie sociale et solidaire à la réalisation des Objectifs du développement durable de l’ONU.  Et la ministre d’expliquer que, dans de nombreux pays, la création d’une entreprise qui ne cherche pas le profit avant tout semble particulièrement saugrenue. Il en est ainsi par exemple des Etats-Unis, où elle avait songé à créer l’an dernier une entreprise non profit spécialisée dans la mesure d’impact de l’égalité femmes-hommes en entreprise. Elle avait eu bien du mal à convaincre les investisseurs…  Marlène Schiappa s’attarde aussi longuement sur l’enjeu de l’évaluation de la Loi ESS de 2014. Une évaluation qui lui a été demandée par les acteurs de l’ESS à son arrivée au ministère, assure-t-elle, voilà déjà un an. Elle a choisi de confier cette évaluation au Conseil Supérieur de l’ESS, dont le rapport lui permettra bientôt de se forger une conviction. Car, assure-t-elle à Mediatico, elle n’aurait encore rien décidé quant à l’aménagement, ou pas, entièrement ou partiellement, de la loi cadre que Benoît Hamon a portée et fait voter voilà presque dix ans. Quant aux vives dissensions apparues ces dernières semaines dans la grande famille de l’économie sociale et solidaire, issues en partie de la volonté des entrepreneurs sociaux de voir réécrit l’article 1 de la loi ESS de 2014 qui ne défend pas assez bien leurs valeurs, Marlène Schiappa affirme que son rôle est de discuter avec tous les acteurs, mais qu’elle n’a pas vocation à réconcilier seule les acteurs de l’ESS car ceux-ci tiennent à leur indépendance. En d’autres termes, elle fera sa part du travail en vue d’une reprise des discussions, mais elle ne sera pas en première ligne car les acteurs de l’ESS doivent s’efforcer de trouver par eux-mêmes les voies de la réconciliation. Nous n’avons guère eu le temps d’évoquer le Trophée des Femmes en ESS, ni l’appel à projets de 1,6 million d’euros pour développer les Pôles territoriaux de coopération économique (PTCE), qui compte 16 lauréats qui recevront 100.000 euros chacun… et qui font bien partie du bilan de l’action de Marlène Schiappa dans le cadre de son Secrétariat d’État.  Pas un mot non plus, hélas, sur son coup de foudre pour Mathias Savignac, président de la MGEN, une mutuelle majeure du paysage de l’ESS, qui interroge sur de possibles conflits d’intérêt. Mais elle aurait répondu que ses attributions relatives au secteur mutualiste ont été reprises depuis par Elisabeth Borne. Enfin, nous aurions pu parler politique, de ses relations avec Emmanuel Macron, avec Elisabeth Borne… et du prochain remaniement ministériel qui pourrait intervenir, selon nous, dans le courant de l’été. Ou encore de son père Jean-Marc Schiappa, militant trotskiste lambertiste soutien de LFI, qui a très vivement reproché à sa fille son engagement au sein d’En Marche…  Si Marlène Schiappa est encore en poste en septembre, ces questions restées sans réponse mériteront bien une nouvelle interview !

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