L’entreprise doit-elle contribuer au bien commun ? Nombreux sont les collaborateurs qui s’interrogent aujourd’hui dans les entreprises françaises. اندرويد كازينو Non seulement parce que la crise du coronavirus nous invite à changer de paradigme, mais aussi parce que la “raison d’être” des entreprises, mise en avant dans la loi Pacte, est venue compléter les enjeux de RSE comme axe de questionnement stratégique sur le rôle de l’entreprise dans la société.
BNP Paribas, qui s’est dotée d’une Direction de l’Engagement, a par exemple choisi de s’engager, entre autres, sur la question des migrants. Il s’agissait au départ de répondre à une demande forte des collaborateurs, qui souhaitaient agir, explique Antoine Sire, directeur de l’engagement du premier établissement bancaire de la zone euro. رهان المباريات
Comment BNP Paribas s’est engagée sur la question des migrants
Avec 200.000 collaborateurs dans le monde, dont 58.000 en France, la banque a donc d’abord décidé d’apporter son soutien au Haut Commissariat aux Réfugiés, qui dépend des Nations-Unies, explique Antoine Sire dans cette interview accordée à Mediatico lors du dernier Pro Bono Day.
Puis, BNP Paribas s’est rapprochée d’associations comme Singa ou Simplon, qui oeuvrent au quotidien pour l’inclusion sociale et l’intégration professionnelle. Enfin, l’établissement bancaire est allé encore plus loin, en recrutant plusieurs personnes ayant réussi à obtenir le statut de réfugié, notamment dans sa direction informatique, poursuit Antoine Sire. العاب روليت
Non seulement ces engagements ont permis de développer un sentiment de fierté au sein du groupe bancaire, mais ils marquent aussi un changement de paradigme dans l’univers des entreprises : “Il est important pour les employeurs de contribuer à l’inclusion sociale“, conclut Antoine Sire. Changement d’époque…