En France, l'étalement urbain et la spéculation foncière font disparaître des dizaines de milliers d'hectares de terres agricoles chaque année dans les zones péri-urbaines. « Quand on est un jeune maraîcher et que l’on veut s’installer en bio sur une petite surface de 1 à 3 hectares, il est très compliqué de trouver de la terre », explique Claudio Muskus, président de Cultures et Compagnies. Alors que l'incitation à aller vers l'agriculture biologique et à renforcer les circuits courts dans les métropoles n'a jamais été aussi forte, le paradoxe est évident.
Pour résoudre ce casse-tête, Cultures et Compagnies a identifié un nouveau créneau : les terrains d'entreprises sous-exploités, d'une surface de 1 à 3 . . .