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ACCUEIL » INITIATIVES » Entreprises : le Green City Tour met du vert dans vos activités de team-building

Entreprises : le Green City Tour met du vert dans vos activités de team-building

Par Camille Richir 12/11/2018

Après avoir travaillé plusieurs années dans le domaine de l’hôtellerie, Danyla Guy a changé de vie en fondant le Green City Tour : une promenade guidée dans Paris, à destination des entreprises et de leurs collaborateurs. La particularité de cette balade ? Elle passe par des petites boutiques, des épiceries locales ou des restaurants bio et permet de découvrir les initiatives éco-responsables d’un quartier. Une façon de mettre un peu de vert dans un séminaire d’entreprise ou une activité de team building.

« Il est indispensable que les entreprises et les salariés s’impliquent davantage dans la réduction de leur empreinte écologique », souligne Danyla Guy dans cette interview vidéo accordée à Mediatico aux Canaux, à Paris. L’entrepreneure souhaite ainsi aller au-delà des promenades urbaines. Elle propose déjà des ateliers, au sein desquels les salariés travaillent ensemble à des solutions pour réduire leur empreinte environnementale.

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Edito

  • Bon anniversaire à la Loi Pacte ! Et à la Loi ESS ?

    Le Mouvement Impact France aurait pu célébrer le 4e anniversaire de la Loi Pacte la semaine dernière, mais ses membres étaient occupés à bien d’autres festivités : après plusieurs semaines de débats enflammés sur les réseaux sociaux (lire sur Mediatico), Pascal Demurger et Julia Faure ont en effet été élus haut-la-main, ce 24 mai, à la co-présidence du MIF, par 86% des adhérents. Un « plébiscite », assure le Mouvement (lire le communiqué). Sachant qu’une liste unique se présentait, le score m’apparaît toutefois un peu plus mitigé : 14% des adhérents ont voté contre – et pourraient donc quitter le mouvement – refusant le projet politique de la nouvelle gouvernance, qui entend élargir le MIF à des entreprises particulièrement engagées… dans la droite ligne des opportunités ouvertes par la Loi Pacte de 2019.  Certes, le réseau de conseil et d’audit KPMG ne fera pas partie du MIF : violemment critiqué sur les réseaux sociaux pour favoriser l’optimisation fiscale des entreprises, donc à rebours d’un engagement vertueux des entreprises pour leurs parties prenantes et leur écosystème, KPMG a en effet renoncé in extremis à intégrer le conseil d’administration du MIF. Mais d’autres entreprises plus classiques, dites « à mission », labellisées B-Corp, ou considérées comme « exemplaires » en matière de RSE, deviennent pour leur part administratrices du Mouvement Impact France : c’est le cas de la SNCF ou de Doctolib. Merci la Loi Pacte… même si cela dérange certains ! Promulguée le 22 mai 2019, voilà 4 ans tout juste, la loi Pacte voulait instaurer un Plan d’Action pour la Croissance et la Transformation des Entreprises (PACTE). À coup de multiples dispositions fiscales d’une part, mais aussi en repensant le partage de la valeur avec les salariés, les écarts de salaires, la gouvernance des entreprises et leur place dans la société, allant jusqu’à leur proposer d’instaurer une « raison d’être » voire une « mission » sociétale dans leurs statuts. Quatre ans plus tard, à quoi la loi Pacte a-t-elle servi ? Ses 221 articles, fort disparates, la rendent bien difficile à évaluer. France Stratégie la juge trop « récente » pour en dresser le bilan (lire son rapport), estime les avancées bien timides sur le partage de la valeur et considère que le statut de société à mission reste encore « marginal » dans l’économie française. Cette loi, que Mediatico a toujours jugé progressiste pour le monde de l’entreprise, est-elle pour autant une mauvaise loi ? Assurément non. Le Mouvement Impact France peut-il s’en revendiquer, même à demi-mots ? C’est évidemment son droit souverain, même si cela irrite une partie de l’économie sociale et solidaire. Faut-il pour autant réviser la loi Pacte ? Personne ne demande rien de tel. Alors pourquoi faudrait-il revoir la Loi ESS de 2014, dite loi Hamon ? D’un anniversaire à l’autre, celle-ci fêtera l’an prochain ses 10 ans. Certes, le temps de l’évaluation est un peu plus long, mais bien trop court encore aux yeux d’ESS France qui aimerait bien la voir entièrement appliquée avant de vouloir la réviser. Or, plusieurs voix de l’entrepreneuriat social réclament non seulement son évaluation, mais aussi, justement, sa révision. De l’ancien Haut-commissaire Christophe Itier à l’ex-président du Mouves Jonathan Jérémiasz (revoir son interview sur Mediatico), ils demandent notamment la réécriture du long article 1, qui porte sur la définition de l’ESS et assimile un peu trop vite l’entrepreneuriat social aux « sociétés commerciales de l’ESS » agréées ESUS (lire l’article 1). Qu’en pense Marlène Schiappa ? Au vu des débats enflammés des dernières semaines et de ceux qui pourraient encore advenir, la Secrétaire d’État à l’Économie sociale et solidaire et à la Vie associative organisera jeudi une table ronde sur l’avenir de l’ESS. Mediatico y sera, avant de recevoir la ministre, dans notre studio, pour une interview sans détours. Nous l’interrogerons sur l’opportunité politique de débaptiser la Loi Hamon pour en faire une Loi Schiappa ! Non sans lui rappeler que de belles lois du secteur de l’économie sociale et solidaire parviennent à traverser le temps, voire les siècles. Comme celle qui protège nos libertés associatives depuis 1901. Recevez chaque semaine l’édito de Mediatico par e-mail

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    Pascal Demurger est candidat avec Julia Faure à la co-présidence du Mouvement Impact France, qui tiendra son assemblée générale le 24 mai prochain. Pour l’occasion, Mediatico republie le portrait réalisé avec Pascal Demurger en 2020 sur son engagement d’entrepreneur à mission. A l’heure de la crise, et s’il était l’heure d’inventer un nouveau modèle d’entreprise tourné vers le « bien commun » ? Et si l’on réconciliait l’éthique et la performance de l’entreprise, pour gagner en attractivité et conquérir de nouveaux marchés ? C’est ce que font certains dirigeants “pionniers”, qui ont décidé d’inscrire dans leurs statuts une « mission » supérieure à celle de leur simple rentabilité. Et c’est ce qu’a fait la Maif. La mutuelle d’assurance connue pour son slogan “d’assureur militant”, a pour fonction première de protéger ses sociétaires, comme toute mutuelle. La Maif est donc devenue une entreprise à mission. Elle réalise près de 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires, mais elle n’a pas d’actionnaires. Elle a centré sa raison d’être sur « l’attention sincère portée à l’autre et au monde». Et pour Pascal Demurger, son directeur général, conduire une entreprise à mission est « source d’un alignement personnel entre l’éthique de conviction et l’éthique de responsabilité », nous révèle-t-il dans cette longue interview. Bienvenue dans “Entreprises en Mission”. Le podcast de Prophil et Mediatico qui interroge l’engagement des entreprises et la sincérité de leurs dirigeants. [article initialement publié le 30/11/2020 sur Mediatico]

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