Depuis déjà cinq ans, l’association Le Chaînon Manquant mène un double combat : lutter contre le gaspillage alimentaire d’une part, et contre la précarité alimentaire d’autre part. « Nous faisons le lien entre ceux qui ont trop et ceux qui ont besoin », résume Valérie de Margerie, fondatrice de l’association.
Qualifiant son modèle économique de « classique », avec un mélange de financements privés et publics, elle ne tient pas à établir d’objectifs en termes de volume : « Notre ADN, c’est d’apporter des solutions là où il n’y en a pas, donc nous évaluons plutôt notre activité en termes de nouveaux acteurs. »
Le Chaînon Manquant collecte traditionnellement les produits frais auprès d’entreprises du secteur év . . .